Présentation de Nanako Kaede
Tu sais, la fille là…



En Général ~
Les histoires d’amour finissent mal


Age: 16 ans
Sexe : Féminin
Nationalité : Japonaise
Type : Dark Creature
Caractéristique : Sirène


Admire ~
Evite de baver sur le parquais, s’il te plait, j’y tiens



Car on a tous le droit de se rincer l’œil.

Que commence t-on par dire quand on commence un physique ? Les choses qui ne vont pas ? Où au contraire, celles qui font du personnage une beauté ?
Certains diront que commencer par les « mauvaises » choses est plus approprié, pour ensuite apaiser les pensées du lecteur, d’autre choisiront le contraire.
Mais ce n’est pas une question à ce poser quand il s’agit de décrire physiquement notre jeune Nanako : en effet celle si ne possède aucun défaut (physiologiquement, évidemment).

Ses longs cheveux blancs (la couleur est bel et bien naturelle) ondulés tombent soigneusement jusqu’au hanches de la demoiselle. Les attachés ? Nanako n’est pas vraiment du genre à se pouponner pendant des heures et des heures devant un miroir, mais il lui arrive (précisons : il lui arrive très rarement) de les nouer (la coiffure dépendra alors de son humeur… Et de la patience qu’elle aura), mais n’essayer jamais de lui parler de sert tête… Ou sinon vous vous retrouverez dans l’impossibilité d’en mettre un pendant plus d’un mois (oui, mieux vaut aller voir Nanako que le coiffeur quand vous souhaiter vous faire raser de crâne : elle vous fait la coupe gratuitement… Mais les conditions ne seront pas forcement les meilleurs pour permettre à votre pousse de grandir convenablement, par la suite…).

Pour continuer dans la description de la tête, on va dire que celle si adopte une forme plutôt ronde qu’ ovale. Un petit nez (à l’odorat tout de même puissant) viendra se placer au milieu (enfin, un peu plus en bas…) de deux grands yeux rouge/jaune, à la vue perçante et au regard dur. Il faut savoir que la lumière ne vient que très rarement se refléter dans ses yeux, au risque de se retrouver noyée dans la profondeur de leur orange. Une minuscule bouche où seuls les sourires moqueurs viennent se dessiner termineront la description de son visage.

Descendons plus bas. La poitrine (généreuse, il faut le dire) de Nanako surmonte son petit ventre tout plat (qui, ma parole, ne gonfle jamais) puis de… Ses belles hanches un peu plus ouverte, mais qui vont à merveille compléter ses cuisses musclés (résultat d’un entraînement intensif subit un fois par mois).

Pour faire général, on peut dire qu’elle est vraiment mince et que la nature l’a dotée de belles formes. Sa peau n’est pas toute blanche, malgré le fait qu’elle est d’origine japonaise, et qu’elle passe la plupart de son temps protégée du soleil (c’est pourtant sa couleur naturelle… A moins que l’on ne trouve un jour une explication à ce phénomène).
Elle ne se ronge pas les ongles, mais ne les soigne pas plus que ça, il arrive donc qu’ils soient légèrement sales, mais on oubliera ce petit détail en admirant ses longs doigts fins.

Pour ses vêtement, c’est vraiment très variable, bien que la plupart des habits qu’elle porte sont assez légers, on peut même dire sexy. Après, c’est à voir en fonction du temps. Il ne sera pas râre de la voir en T-shirt et jupe au beau milieu de l’hiver, je vous laisse l’esprit libre afin d’imaginer le résultat en été.

« Gentille ? Moi ? Tsss… De quoi tu parles ? » Voilà ce qu’elle vous répondra quand vous la traiterez de bienfaitrice. Si vous avez déjà eu le culot de le lui dire.
Vous aurez d’ailleurs vite fait de confirmer ses dires, car on ne peut pas parler de Nanako en tant que « gentille fifille », mais en tant que méchanceté incarnée.
Vilaine, elle aime priver les gens du bonheur : enfant, il vous sera peut être arrivé de vous retrouver assis en face d’une personne mangeant avec passion une barre chocolatée. Vous la regarder avec des petits yeux de chien battu, aucun doute, si vous êtes tombé sur une bonne personne, elle cherchera dans son sac une autre sucrerie avant de vous l’offrir. Vous lui répondrez merci, aurevoir, fin de l’histoire, vous oublierez cette barre chocolatée dans le quart d’heure suivant.
Je vous assure que si vous étiez en face de Nanako, vous ne l’oublierez pas de sitôt : premièrement, elle fera exprès de manger en décomposant bien chaque geste de sa mâchoire devant vous, jusqu’à ce qu’il ne reste rien de cette sucrerie. Alors seulement elle fouillera dans sa poche pour sortir une autre barre de chocolat qu’elle fera tomber par terre avant de l’écraser avec insistance, sous vos petits yeux pleins de larmes, pour ensuite repartir en vous tournant le dos.
Vous l’aurez compris c’est une redoutable perverse : elle sait ce qui fait mal et ce qui fait du bien. Evidemment toutes ses actions son exécutées dans le but de remplir une part de malheur dans la vie d’autrui, d’absolument n’importe qui, sauf une catégorie de vivant : les personnes se hissant à sa hauteur (d’après son seul jugement bien sûr, elle n’est pas du genre à écouter les conseils). Je ne dirais pas qu’elle possède un don pour différencier rapidement les âmes corruptibles aux autres, mais c’est tout proche : elle arrive à reconnaître très facilement les personnes des classes « vilains » et « gentils ».
Elle ne se montrera pas forcément plus sociable avec une personne de la première qu’avec celle de la seconde. Alors à quoi cela sert-il, me direz vous ? A choisir une bonne stratégie.
Grande stratège cette Nanako, ce n’est pas d’ici la veille que vous l’aurez à l’aide d’une petite ruse trouvée dans le dernier livre de farces sorti.
Pour en revenir à ce que je disais juste avant, la jeune fille différencie les bonnes des mauvaises personnes par choix stratégique : elle n’attrapera jamais une personne idiote avec la même méthode qu’une personne rusée.
Oui, ce n’est parce qu’elle appartient à la dernière catégorie qu’elle n’essaiera jamais de corrompre une personne de son « clan » : avec elle, c’est chacun pour soit, ne tacher pas de changer cette règle.

Nanako est donc hantée par cette méchanceté. Mais ce n’est pas fini : après la stratégie, la perversité, la vilaine demoiselle se sent supérieure à tout le monde, au monde.
« Sale et simple mortel » vous dira t-elle. Ce propos très déplacé que l’on retrouve partout ne l’est pas moins pour la jeune fille qui est aussi vulnérable que les autres : elle est peut être plus taillée à la survie, mais de là à parler d’immortalité, il y a large.

Pour finir, encore un point très important de la personnalité de Nanako : c’est une véritable allumeuse. Devant un homme, elle calculera chaque geste, chaque parole, tout ceci dans le but de le séduire.
Vous vous doutez d’où cela vient non ? C’est bien une sirène, hein, elle ne se donne pas tant de mal pour obtenir un simple plaisir charnel, mais pour l’essence même de ses besoins… En tant que sirène : l’homme n’est autre que sa nourriture…

Nanako, affreuse Nanako, que fais-tu encore ?… Tu es déjà assez démoniaque comme ceci, mais jamais tu n’avais voulu faire une telle chose, une telle horreur… Pourquoi, mais pourquoi… La pureté ne t’habite plus depuis bien longtemps, mais ce n’est pas une raison… Ta bande d’amis et toi, vous êtes tous les mêmes : des petits délinquants… Tu es issue d’un quartier populaire, jeune fille, et tu n’as que quinze ans alors que tu t’apprêtes à commettre ton premier véritable crime… Pourquoi… Toi et tes compagnons, vous êtes tous semblable… Des jeunes enfants sans âmes…Ma jeune Nanako, tu n’étais sans doute pas consciente, à cette époque de la gravité de tes actes, mais tu pouvais déjà deviner la terreur de cette enfant face à toi et tes amis, lorsqu’elle avait reçu trois coups aux genoux venant de toi… Elle s’était effondrée devant toi, tu lui as donnée des coups de pieds dans le cou… Et comme si cela ne suffisait pas, tu t’es assise sur son ventre et lui as donnée un coup de poing sur la joue… Un seul coup de poing qui a suffit à faire cracher une mare de sang à ta victime… Mais tu riais… Tu étais heureuse… Pourquoi ?… Nanako, pourquoi avais-tu fais ce choix ?… Cela ne t’effraie donc pas… Tu n’as donc peur de rien ?… Dès que la petite enfant tentait de s’enfuir, un de tes compagnons lui donnait le prix à payer pour vous avoir sous-estimé, alors que tu la tenais fermement par les poignets pour qu’elle ne parte… Tu continuais de rire, alors qu’elle, elle pleurait… Pourquoi étais-tu heureuse, pourquoi ? Que t’avait-elle fait comme mal pour mériter d’être maltraitée à ce point… Tu n’as donc pas peur de sa fureur… Tu savais qu’il y aurait vengeance… Tu le savais… Mais tu savais également que tu gagnerais cette revanche, ainsi que toutes les autres… Oui, tu te croyais la plus forte… Mais tous n’étaient pas du même avis… Oui, seule une personne se risquait à te contredire : Shizuku, le chef de ta bande… Pourquoi ne voulait-il pas te croire ?…

Car… Ce garçon… Il avait raison… Vous étiez tous les deux des maîtres de la perversion… La seule chose qui vous différenciait était la résistance… Shizuku en était bien conscient…
Tu jugeas que c’était assez, pour une première fois… Oui, quand tu te relevas après avoir casser la cheville de la pauvre gamine, tu avais un sourire aux lèvres… Mais pas un bon sourire, un mauvais sourire… Celui de la mauvaise victoire… Oui, avec l’aide de tes amis, tu venais de commettre le premier impardonnable… Ton premier crime impardonnable… Et tu n’étais pas prête de l’oublier…
Non, tu ne l’oublierais jamais…



21h45, Immeuble de Nanako

Tu t’étais assise sur le toit de ton immeuble, et tu repensais à l’acte que tu venais de commettre… Tu en étais toujours aussi fière… Quelle affreuse fille tu fais, Nanako… Née dans une cité d’une mère délinquante et d’un père tagueur, tu étais la seconde d’une grande sœur alcoolique… Est-ce là ce qui faisait ta jouissance ?… Ton bonheur, et ce depuis ta petite enfance, était de procurer le malheur aux gens… Ton propre malheur… Le « transmettre » aux autres… C’était ta façon d’oublier ta situation… Oui, malgré tous tes problèmes, tu étais heureuse… Mais comment peux-tu ?…

Le fil de tes pensées dérivait lentement vers toutes les difficultés que tu avais rencontrées avant de rencontrer Shizuku et les autres, avant de trouver, de connaître ces moments jouissifs… Combien de fois t’étais-tu fais battre par cette mère qui ne vie que d’alcool, combien de fois ta sœur t’avait-elle méprisée froidement, combien de fois ton père s’était-il amusé à taguer tous tes beaux vêtements…
A toi, petite fille dont le destin était déjà tracé, je te souhaite tout le bonheur du monde…
Ce fil pensif qui te menait actuellement était en train de disparaître tranquillement, la fatigue commençait à s’installer au fond de toi… Alors, sous la pleine lune et la nuit étoilée, tu t’endormais…



00h34, Immeuble de Nanako

Le doux pourpre te procurait une vision agréable, alors que le vert kaki te faisait mal aux yeux. Le bleu marin était également très apaisant, mais malgré cela, tu favorisais le dorée scintillant…
Tu t’étais plus tôt réveillée, cognée par la lumière vive… Sous tes yeux ébahis, tu avais découvert la lune, changeant de couleur… Un étrange sentiment t’envahissait au fur et à mesure que la lune te faisait visualiser la nuit sous ses différentes couleurs… Pour une fois, tu restais sans rien dire… Pour une fois, tu ne bougeais pas…Pour une fois, tu étais impressionnée…
Mais... Sur toi, une chose se déchaînait... Elle avait des longs ongles pointus... Le sourire narquoit aux lèvres, la jeune fille fut d'un coup éclairée pas la lumière vive et blanche de la lune... Tu découvrais l'identé de cette fille... C'était celle que tu avais agressé plus tôt.
Tu fus surprise, tu pris peur, pour la première fois depuis longtemps... Tu essayais de la dégager de toi, mais elle avait les ongles plentés dans tes bras, elle te retenait sans mal... Tout d'un coup, elle lâcha ton bras droit et pointa son doigts sur ton nez... Tu avais une ouverture, mais pétrifiée pas la peur, tu ne bougais plus... Avec toujours le même sourire et le même air terrifiant, elle te dit d'un ton mielleux :

"Huuum, vous avez l'air bien embêté, jeune fille... Vous voir dans cet état, hm, quel délice..."

Tu ne disais toujours rien... C'est avec de grand yeux que tu la regardais...

"C'est donc l'heure de la vengeance...? Tu ne pensais pas la perdre, celle-là, hein ?"

Sur ces mots, elle plenta son ongle dans la peau de ton nez... Tu gémissais, criais de douleur... Ce que tu pouvais avoir mal... Tu ne t'attendais pas à ce qu'une telle chose se passe... Comment avait-elle fait pour revenir... Comment avait-elle fait pour accéder au toit ? Pour savoir où tu te trouvais ?... Tout cela te semblais bien étrange, et sur le coup, tu étais désemparée... La douleur persistait...

"Toi, Nanako Kaede, je te maudis pour ta méchanceté... Tu deviendras..."

Tu criais, tu pleurais, tu étais tellement effrayée pas la demoiselle que tu n'entendis pas la suite de sa phrase... Elle retira son doigt de ta peau et partait sans que tu ne sâche où...






14h56, Piscine de la Cité

Une vague d’eau suivie d’un gros « splash » t’arrosa le visage. Tu étais trempée… L’auteur du crime, Shizuku, te riait au nez, te narguait… Tu étais énervée, mais tu n’allais pas te laisser faire comme ça… Doucement, tu retiras ton t-shirt puis ta jupe sous le regard de Shizuku, en laissant apparaître tes sous-vêtements. Tu t’assis lentement sur le rebord de la piscine extérieur, la piscine de ta ville… Tu trempais tes jambes dans l’eau chaude… Shizuku vint te rejoindre, il te dit :

« Qu’est-ce que tu me veux, toi ? »

Tu ricanas avec lui avant de te glisser entièrement dans l’eau… Si tu pouvais revenir en arrière, tu ne serais jamais entrée entièrement dans la piscine… Car juste après que tu te sois habituée à la température de l’eau, tu regardas tes jambes…
Ce n’était plus des jambes que tu avais là, mais une énorme nageoire… Tes écailles brillaient à la lueur de la lumière qui traversait l’eau… Tu ne savais pas ce qui s’était passé à ce moment là, peut être ton nouvel instinct de sirène… Tu rejoignis Shizuku, et passa tes bras autour de son coup, tu collas ton visage au sien, puis lui murmura :

« Je ne veux rien, juste te battre »

Shizuku qui ne se rendait pas compte de ta transformation, te répondis sur le même ton :

« Tu vas y arriver, là… »

« Jamaiiis pluus tu ne me suuurpaasseeraas… »

C’est en chantant d’une voix merveilleuse que tu l’avais coupé… Le jeune garçon complètement séduit par ta personne t’écoutait calmement, alors que tu l’enfonçais petit à petit dans les profondeurs de la piscine…

« Aujourd’huiiii tu perdraaas touuteuuh ta joiiiiie… »

Tu approchas ta bouche tout près de la sienne ferma les yeux, et tu lui dis une dernière phrase…

« Car plus jamaiiiiis tu ne… viii…vraaas… »

Shizuku ne comprit pas tes dernières paroles, il était plus occupé à essayer de se libérer de ton emprise… Tu l’entraînais vers le fond du bassin… Il faisait tout ce qu’il pouvait, tentait de t'asphyxier, mais rien à faire : tu respirais sous l’eau… Tu attendis encore un peu, le temps que le jeune homme s’affaiblisse, qu’il manque d'air… Tu le noyais… A la surface, toute la foule s'alarmait, alors que sous l’eau, un véritable carnage avait lieu… Tu arrachais ses membres un par un… Shizuku était déjà mort… Tu ne te rendais compte de rien… Tu arrachais sa peau, croquais chaque partie de son corps… Le bleu de l’eau avait laissé place au rouge du sang… Les maîtres nageurs plongeaient pour délivrer Shizuku, mais c’était trop tard, ils ne pourraient jamais rien… Tu criais sur eux, avant de les empoigner par la gorge et de les dévorer à leurs tours…

Pourquoi as-tu fais ça ? …Pourquoi avais-tu décidé de contempler la lune ?…Pourquoi étais-tu devenue une sirène ?…

"Toi, Nanako Kaede, je te maudis pour ta méchanceté... Tu deviendras une sirène. La suite de ta vie, tu seras pourchassée part tes fautes…Le reste de tes jours sera consacré aux crimes, à la déloyauté…
Un jour, tu trouveras le moyen de t’expier de tous tes pêchés…Un beau matin, tu trouveras cet orphelinat…Et jamais plus tu ne le quitteras…
Tu monteras chaque soir dans ta chambre…Tu t’essaieras sur ta couche… Tu fermeras les yeux…


Et enfin tu pourras dire bonsoir à la lune."




Questionnaire sur votre histoire ♪

Bi…Bien… C’e… C’est donc sur… Sur ces paroles… Honnêtes et sincères que la présentation du protagoniste… Est… Est ter… Terminée… Au… Au revoir…
C’est ça, casse-toi.

Ou…Oui…
J’en étais sûr, je n’aurais jamais dû revenir…



Et il ne me reste plus…~
Qu’à danser, danser, danser pour arrêter le temps :3




Et n’oublions pas nos authentiques questions !