[Bonjour ! Je suis nouveau également, et j'ai pensé qu'on pouvait simplement arriver au même moment Je réponds donc à ton post, si tu me le permets]

Arthur était arrivé dans l'après-midi à l'aéroport et avait parcouru le chemin jusqu'au pensionnat à pied. Il n'avait pu s'empêcher de remarquer que les gens le regardaient en étranger ici aussi, bien qu'ils n'avaient pas tord. Après tout, il l'était. Il se savait fatigué, bien qu'il lui était impossible de le sentir. A peine avait-il franchi le portail qu'il se sentit immédiatement... Mal. C'était un lieu beaucoup trop immense à son goût, et il n'eut qu'une envie: entrer et s'installer dans un placard, ou quelque chose dans ce genre là, avec si possible connexion internet.

Il pianotait sur son portable, mais n'avait bien sûr personne à qui envoyer des messages. Non, comme toujours, il était sur internet, mille fenêtres ouvertes et mille recherches en cours. Sans lever les yeux, il entra dans le grand hall du bâtiment central, qui se trouva logiquement être l'accueil (ou le secrétariat, qu'importe). Arrivé devant le bureau du secrétaire, il regarda enfin devant lui. A son grand désarroi, personne n'y était assis.

Il se retourna, chercha autour de lui, et vit, assis sur un fauteuil et impatiente, une jeune fille aux cheveux d'un violet très prononcé d'où deux oreilles pointues dépassaient. Il s'approcha d'elle, et avisant les bagages qui l'accompagnaient, compris qu'elle était dans la même situation que lui. Il s'assit donc sur le siège voisin.

"Bonjour", dit-il poliment avant de reporter son regard sur son portable. Se demandant si le retour de la secrétaire serait proche ou non, il ajouta, sans relever le regard: "Tu attends depuis longtemps ?"

Lorsque la demoiselle aux oreilles pointues - qui était logiquement un genre d'elfe qu'on trouve dans les MMORPG et autres jeux vidéos et livres d'aventure - lui répondit, il émit un son semblable à "Mh." en tant qu'approbation. 10 minutes pouvaient se justifier. Si dans un quart d'heure la secrétaire n'était pas de retour, il s'aventurerait lui-même dans les centaines de couloirs jusqu'à ce qu'il trouve un responsable ou bien, même, sa chambre. Au bout d'une minute, il ne put plus nier davantage le regard de l'elfe qui pesait sur lui. Il releva la tête, ressentant une pointe d'agacement, mais demanda avec toute l'amabilité du monde:

"Est-ce que je peux faire quelque chose pour toi ?"

Il y ajouta un sourire gentleman, bien qu'il ne trouvait pas l'attitude de la jeune femme très polie. Mais après tout, il se dit que la sienne ne devait pas être mieux. Il plongea son regard dans le sien, d'un doré absolument sublime. Arthur fut étonné et enchanté de remarquer que la grâce des elfes vantés dans tous les écrits qu'il avait lus n'était pas volée, et rien qu'à la côtoyer on se sentait transporté dans une nature vive et silencieuse.

Il craignit de se laisser atteindre par ce charme naturel, mais il n'en fut rien. Cependant, il devait reconnaître que cette rencontre n'était pas pour lui déplaire, lui qui avait toujours été fasciné par ces créatures enchanteresses si différentes des hommes et de leurs coutumes barbares. Son sourire se fit plus sincère, et il se sentit assailli par sa propre curiosité qu'il refoula au plus profond de lui, détestant l'idée de paraitre indiscret ou de la mettre en colère.

Fouillant toujours le profond regard de l'elfe, Arthur attendait qu'elle dise quelque chose. Elle semblait tout aussi étonnée de rencontrer un homme que lui était curieux de l'elfe. Finalement, comme elle semblait avoir fini son inspection, elle détourna les yeux, les joues roses, et, souriante, se releva:

"Je vais aller voir plus loin dans les couloirs si il n'y a pas un responsable ou simplement un employé pouvant nous aider."

Il se releva d'un coup. Si jamais elle trouvait quelqu'un pour la guider, il ne voulait pas se retrouver à attendre ici pour rien.

"Je viens avec toi !"

Il ramassa son sac et la devança. Le hall d'entrée donnait sur ce qui lui sembla une infinité de couloirs et de portes closes. Comme il n'avait pas spécialement envie de galérer à inspecter chaque pièce, il alla s'asseoir à la place du secrétaire et fouilla dans les papiers.

"Je suppose que les indications sont quelque part..." dit-il en mélangeant tous les dossiers.

En quelques secondes, il abandonna sa fouille pour se diriger sur le poste informatique qui était simplement en veille.

"Je vais trouver ça en moins de deux ! Dossier "pensionnaires"... Finalement, les secrétaires sont plutôt inutiles... Je me demande si il y a un plan... Donc tu es dortoir... 14 ! Tu le savais ? Personnellement, ils n'avaient pas pris la peine de me dire quoi que ce soit..."

Il trouva également son nom et son numéro de dortoir. Il se releva puis annonça:

"On a plus qu'à trouver quelqu'un !"

[HRP: Pardon, cette réponse n'est pas terrible >< J'espère que ça ira]

Aussitôt après, nous empruntions l'un des couloirs qui était, comme le hall, complètement vide.

"Bizarrement, c'est toujours les personnes administratives, donc celles dont on a le plus souvent recours, qui ne sont jamais sur la liste des présents.", commença l'elfe d'une voix légèrement sarcastique.

Il faut dire que cette situation est très désagréable, surtout lorsqu'on est nouveau et qu'on ne sait absolument pas où aller.

"Et si on appelait l'établissement ? Il y a forcément quelqu'un qui répondra !"

Néanmoins, ce n'était pas normal d'être obligé d'avoir recours à ce genre de solution extrême.

"Ou alors... On y va au feeling..."

Il l'interrogea du regard sur quelle était la meilleur option. Mais il savait que si il appelait, il s'énerverait si fort qu'il risquait de se faire envoyer balader en un quart de seconde. A moins que ce ne soit l'elfe qui appelle ? Au passage, Arthur remarqua qu'il n'était absolument pas pratique de réfléchir en appelant la demoiselle "l'elfe". Il avait besoin d'un nom pour s'y retrouver.

"Au fait, le moment est peut-être mal choisi, mais je m'appelle Arthur Kirkland. Me serait-il possible de savoir avec qui ai-je l'honneur d'être perdu ?" demanda-t-il gentiment.

en redescendant du toit après la merveilleuse soiré en compagnie de Yume,je fit ma ronde dans les couloirs de l'internat,tout était calme,silencieux...et froid.
ont ce serai dit dans une tombe,la lumière sinistre de l lune n'arrangait rien a l'ambiance glacé des couloirs.
Je continua de marchez,mon uniforme a nouveau lisse et bien ajustez après mes quelque valse avec yume.
J'entendit des voix dans les couloirs,a cette heure ci aucun élève ne deait trainez dans les couloirs,je me dirigea donc vers la source des voix.
A mon arrivez je vit deux jeune gens,l'un était un humain blond au yeux bleu qui portait des lunette et avait un ordinateur portable dans la main,la deuxième personne,une fille au cheveux violet et au yeux d'or et oreille pointu d'elfe ce parlait.
Ils ne m'avait pas vu dans l'obscurité,je m'avanca et alla a leurs rencontre.
et leurs dit dans un sourire courtois:

"Bonsoir jeune gens,puis je vous demander ce ue vous faite si tard dans les couloir du pensionnat"

[HRP: J'ai les yeux... VERTS !!]

Comme il l'avait deviné depuis quelques temps déjà, la demoiselle lui confirma être une elfe. Cela lui fit tout de même bizarre d'entendre ce mot à haute voix.

"Enchantée, je suis Ellena, Ellena Elfiya, elfe venue d'une contrée bien lointaine"

C'était un nom assez étrange. Elle accompagna sa présentation d'une petite courbette.

"C'est un très joli nom", la complimenta-t-il tandis qu'elle se relevait.

Il entendit une voix masculine s'élever du couloir. Un homme approchait.

"Bonsoir jeunes gens, puis-je vous demander ce que vous faites si tard dans les couloirs du pensionnat ?"

Arthur l'analysa du regard tandis que Ellena lui répondait. Il était vêtu d'une armure, et sur le coup, il se demanda si c'était impressionnant ou ridicule. Il s'abstint de toute remarque. Son visage était entouré de mèches brunes soyeuses et il reflétait un calme olympien.

"Bonsoir monsieur. Nous recherchons quelqu'un pouvant nous aider, voyez vous nous sommes tous deux nouveaux."

"En effet, confirma-t-il, car il se trouve que le... secrétaire s'est accordé une petite pause dans son emploi du temps."

Il ajouta sa remarque d'un sourire. Après tout, l'homme n'était pas responsable de l'incapacité du personnel.

j'écouta les jeune gens s'expliquer comprenant que ce n'était que deux élève nouveau un peu perdu a cause de l'absence d'un membre du personnel administratif.
me rendant compte de l'ironie de la situation je me retint a grand peine de rire aux éclats et leurs répondit:

"je ne craint de ne pas pouvoir vous être d'une grande aide,j'ai été engagez pour assurez la sécurité et l'ordre dans le pensionnat,et je n'ai commencez que depuis aujourd’hui.
puis a cette heure la je ne sait pas si il est encore en service le secrétaire..."

j'alla au bureau du secrétaire,fouilla rapidement dans l'ordinateur pour trouver une chambre libre pour chacun des deux jeune gens.je prit les clés des chambre et revint vers eux.

"Allez suivez moi,je vait vous donnez une chambre pour cette nuit,puis demain vous irez voir la secrétaire pour valider votre entré"

leurs dis je en souriant,et en commençant a marchez vers les chambres

[HRP: Je ne sais pas si tu as lu le début du RP (...) mais Ellena et moi savons déjà dans quelle chambre on doit aller. On a juste besoin d'un guide ^^' Du coup, je rectifie un peu le texte, si ça te convient pas, dis-le moi ^^]

"Je crains de ne pas pouvoir vous être d'une grande aide, j'ai été engagé pour assurer la sécurité et l'ordre dans le pensionnat, et je n'ai commencé que depuis aujourd’hui. Puis à cette heure là, je ne sais pas si il est encore en service, le secrétaire...", dit l'homme.

Il s'installa derrière le bureau du secrétaire et revint quelques instants plus tard avec nos clés de chambre. En effet, Arthur n'avait même pas pensé qu'il puisse avoir besoin de clé une fois devant la porte de sa chambre.

"Allez suivez moi, je vais vous guider à votre chambre. Puis demain vous irez voir le secrétaire pour faire valider votre arrivée."

Il se dirigea vers un couloir qui devait mener aux chambres. Arthur le suivit, ses bagages à la main, en silence. Ils arpentèrent ce qui lui parut des dizaines de couloirs. Ils finirent par arriver à un immense couloir avec une centaine de portes sur lesquelles étaient affichés des numéros. Il se souvint de son numéro de dortoir: numéro 2. Il n'aurait sans doute pas besoin de marcher beaucoup.

[HRP:t'inquiète pas Arthur ça me gène pas,c'est moi qui est pas fait gaffe je vait éditer]


je marcha a travers les immense couloirs les jeune gens sur les talons,les couloirs étaient toujours aussi sombre et froids.
je décida d'engager la conversation:

" dite moi,vous connaissez un peu le coin?j'aimerait faire un tour dans un centre commercial mais j'ignore si il y en a un dans les parages."

je continuait de aarchez en attendant leurs réponse,pour meubler cette affreux silence.

Alors qu'il savourait le silence serein qui rythmait leur marche sans fin, l'homme engagea la conversation:

"Dites-moi, vous connaissez un peu le coin ? j'aimerais faire un tour dans un centre commercial mais j'ignore si il y en a un dans les parages."

Ce à quoi Arthur répondit:

"Étant donné que je viens tout juste d'arriver ici, et que je ne suis même pas de ce pays-ci, je n'en ai absolument aucune idée. Ellena en saura peut-être plus que moi, mais si elle vient d'une contrée lointaine... Alors vous n'êtes pas tombé sur les bonnes personnes... Euh... Votre nom, c'est ?"

Après tout, ce type l'avait sauvé - ou plutôt aidé, il n'était pas vraiment en danger de mort - il pouvait faire l'effort de lui demander son nom ! Il leva les yeux vers une porte, et s'arrêta devant.

"Attendez ! Ça ne serait pas ma chambre, par hasard ? Il y a le chiffre 2... Et mon nom... Et celui de..., il lut, Yu-ki-o Mi-sa-ki... Ça doit être mon colocataire.

Il se tourna vers Isaac.

"C'est ma chambre n'est-ce pas ? Je peux avoir ma clé ?" ajouta-t-il en tendant la main.

Je m'arréta en meme temps que le jeune homme devant la porte de sa chambre.je vérifia rapidement qu'il n'y avait pas d'érreur et prit la clé de sa chambre et la posa dans la paume de sa main en disant:

-Bienvenue a Tsuruko.

je me tourna vers la jeune fille et lui fis signe de me suivre en souriant.

Arthur s'empara avidement des clés et déverrouilla la porte.

"Bienvenue à Tsuruko"

"Au revoir Arthur, je fus enchantée de notre rencontre."

Il se tourna vers eux, se forçant d'afficher un sourire courtois bien qu'il n'avait pas d'autre envie que de se jeter dans sa chambre et de ne pas en sortir pour quelques semaines.

"Merci à vous deux, on se recroisera sans doute !"

Et il entra, sans plus s'occuper de ce qu'il se passait dans le couloir.

[HRP: /Quit]