Ce qu'il faisait à un parc d'attraction? C'était une absolument bonne question que quiconque connaissait sa situation était en droit de se poser. Mais le garçon avait fierté de dire que c'était sa première fois dans un parc d'attraction et qu'il c'était amusé fou. La journée était un cadeau de Ricardo, qui l'avait d'ailleurs accompagné. Emphase sur le passé (c'était quoi l'idée d'offrir à quelqu'un des tours de manège si soi-même on est incapable de surporter tout ce qui défie la gravité?¬¬), il attendait maintenant à moitié malade quelque part dans le parking. Il ne savait pas se que la sérieuse Jodie pensait de tout cela (les agents n'étaient pas vraiment supposer intervenir beaucoup avec leurs témoins,mais bon ils étaient au japon en "vacances" après-tout) c'était le midi, et ça fourmillait de partout. Il avait peine à faire trois pas sans que quelqu'un lui rentre dedans! Sans parler des files d'attente interminable pour les manèges. Non, le garçon c'était amuser le matin, mais maintenant il y avait trop de monde, et puis, il s'inquiétait un peu pour son ami (ben quoi, vert n'est vraiment pas une bonne couleurs)....

-...ça dépends encore, car vert est la couleur de la nature,non? Auquel cas, c'est une couleurs relativement important et une bonne couleurs dans la mesure ou c'est bon d'avoir de la nature pour respirer....Ah! Puis les profs qui disaient que je retenais rien! Je retiens ce qui est important, et c'est ça l'important!!! ....euh...Probablement que c'est important, puisque j'ai dit que c'était l'important,non que j'ai toujours raison mais n'est-ce pas une notion être capable de dire ce qui est important? J'parle ce qui est important est différent de ce qui est moins important et dans la mesure ou tu te sert de ce qui est important , tu es en mesure de déterminé ce qui l'est et ce qui ne l'est pas,non?...Mais c,est pas comme si je me serait du fait que la nature est verte, alors qu'est-ce qui...

Les gens lui jettait des regards bizarres alors qu'il passait, chose auquelle il était pas au courant, perdu dans son monologue. Il continua comme ça quelques temps avant d'avoir soif et de tenter de prendre sa bouteille d'eau dans son sac. Emphase sur le "tenter"...
...
Son sac!!! Et non,non,non,non!! Arggg....Où avait-il bien pu passer? Il l'avait déposer avant d'aller faire ce manège? Non, il l'avait récupé après...En achetant de la crème glacer? Non c'était Ricardo qui avait payer, il avat encore son sac. Maintenant qu'il le pensait, Ricardo lui avait rapeller chaque fois qu'il l'oubliait...Alors ça devait être après qu'il soit parti!!...Mais il n'avait rien fait...

L'aire de repos! Juste après "Le chariot galactique'', ils avaient dû s'arrêter là car son ami menaçait de rendre l'âme(ou du moins son repas), après chaque pas...Après quelque minute assis, l'agent du service de protection des témoins avait déclarer qu'il ne pouvait continuer et que juste voir les manèges le rendaient malades, il avait regarder Matthew un instant, avant de bravement se lever, puis une main sur le ventre, l'autre l'aidant à l'aide des chaise et des tables à tenir debout s'en alla.

Walkers, jogga rapidement, ayant peur pour ses affaires oubliés. Il fut grandement (mais agréablement) surpris de les trouver où il les avaient laissés. Étrangement, l'aire de repos était quasi-désert comparer au monde qu'il y avait à l'extérieur. L'aire de repos C, dans laquelle il se trouvait était un grand bâtiment, d'une vingtaine de mètre carrés qui resemblait à une cafétéria par les nombreuses tables et chaises. Une baie vitrée qui occupait un mur, et donnait à l'extérieur du parc, s'opposait à la porte d'entrer. Sur la droite un petit couloir menant aux toilettes étaient en partit caché par le menu restrain du petit ''café'' (qui étrangement ne vendait même pas de café) aux prix exobitant dont la caissière semblait s'ennuyé ferme. L'adolescent jeta un coup d'oeil autourd.

Près de la baie, une jeune femme lisait un panflet. Il y avait d'autres personnes, mais il n'eut pas le temps de les voir alors que soudainement, un son que le garçon n'oubliera jamais retentit. Une détonation puissante qui hantera à jamais ses cauchemar. Un coup de feu. Il entendit les cris de certaine personnes, alors qu'une voix puissante se fit entendre.

Braqueur-chef: Tout le monde par terre!

Étant un super-héros, avec des réflex de super-héros (en faite, faux mais bon!!!!) Matthew tourna rapidement la tête vers l'individus. C'était un homme, très grand dans les 1m90 (mon dieu,comment le garçon ne l'avait pas remarquer avant!) il portait une cagoule, des gants un habit noir et ,surtout, le pire, un fusil à pompe qu'il c'était servit pour faire un trou dans le plafond...Une arme...

La journée ou il prenait congé, de ses "activités part-temps" ironique, non? Mais ce n'était pas le temps pour ça. Bougeant fixement la tête, il identifia la menace.

Un deuxième homme, qui mettait une chaîne et un cadenas après la porte principale, il avait un pistolet à la taille, une tête de mort sur son chandail (qui était d'ailleurs trop grand) et une pair de lunettes qui semblait occupper le tier de son visage.

Un troisième homme c'était faufiler derrière la caissière et dans les cuisines pour vérifier s'il y avait du monde, il était petit (quoique plus grand que Mat...Pas juste) et semblait jeune(un ado?) et inexpérimenter à la façon dont il tenait le pistolet qu'on lui avait probablement mis entre les main (la sécurité n'était même pas enlevé).

Pour le quatrième homme, il se maudissa légèrement et se traitait d'imbécile de ne pas l'avoir remarqué plutôt...En embonpoint, sa présence était impossante par ses bottes en cap d'acier et particulièrement avec le bat de baseball qu'il tenait à la main.Il se tenait à la gauche de la baie vitrée, près de la porte de secours qu'il avait déjà cadnassé et semblait chercher un moyen de baisser les toiles (stores) sur les vitres.

Braqueur-chef : T'es sourd? J'tai dit te mettre par terre!

Les rouages roulant rapidement dans sa tête...Quatre homme s'il agissait rapidementavec son pouvoir, il pourrait les mettre K.o, non? Il allait justement le faire quand.

"-* Non!!Blesser!''

Il comprit aussitôt la signification de ses mots qu'il était le seul à entendre. S'il utilisait son pouvoir, il était fort probablement que les vitre éclatent, et des éclats de verre soulever par des vents assez forts pour mettre hors d'état de nuire quatre mecs? Il risquait de tuer quelqu'un! (il s'inquiétait principalement de la dame qui lisait sur le bord de la baie). Il parla rapidement son accent américain transparaissant au travers son haut débit de paroles.

-Pourquoi? J'veux dire, c'est bien se mettre par terre dans la mesure ou vous voulez que je me mette par terre et que vous avez l'arme mais dans cette mesure où on peu apeller ce que vous faites mal me mettre par terre serait insensé!Non biensûr insensé dans le sens qui na pas de sens après tout, ça à quand même du sens se mettre par terre dans la mesure où vous voulez que je me mettes par terre et que vous tenez l'arme, mais si vous voulez que nous nous mettions par terre c'est pour mieux nous maîtriser et ça n'a pas beaucoup de sens dans la mesure où nous maîtriser par force ne vous apportera rien, hein? J'veux dire si ça serait une banque okay, j'pourrais comprendre...Oh, En faite pas vraiment, je suis complètement contre le crime...Contre le crime, pas les infractions, faut pas confondre après tout, quelque chose peut-être une infractions sans vraiment être un crime...J'imagine que la différence entre...

Braqueur-chef: NON MAIS TU VAS TE L'A FERMER?! PAR TERRE J'TAI DIT!

Il sursauta surpris, avant de reprendre, sa nervosité oublié derrière sa frustration.

-Non mais pas la peine d'être aussi brusque!J'veux dire vous avez l'arme est tout, mais c'est pas une raison pour être grossier! Les policier dans les rues, l'armée, les voyez-vous hurler sur tout ce qui bouge? Non justement, c'est quoi votre problème, J'veux dire, autre qu'apporter une arme dans un parc d'attraction Mais on était pas vraiment là, j'veux dire une arme fait pas nécéssaurement le pouvoir, nah? et il y des moyen polie d'obtenir ce que vous voulez! D'ailleurs qu'est-ce que vous voulez, faudrait savoir par ce qu'honnêtement "le crime ne paie pas"...Héhé, ça doit être la différence entre le crime et les infractions non? Non que les infractions paie...Alors c'est pas vraiment la différence désolé...En faite je pense que...

Il fut forcer de se la fermer assez brutalement lorsque la crosse d'un fusil fit un contact douloureux avec sa tempe et qu'ensuite son corp fit une visite innatendue au sol...Mais il était plutôt dans les vapes à ce moment là. Il faut dire,monologuer avec des méchants qui ont une arme braquée sur toi n'est peut-être pas la meilleure des idées après-tout.Mais Matthew était différent d'Émile et pour le meilleurs ou le pire, quand il était nerveux, il parlait...Superhéros ou non, une arme est une arme.

Braqueur-chef n'était pas d'un naturel violent, mais là il est à donné des ordres pour qu'un gamin lui sorte un naratif sur les loi 101... Si au début il avait été stupéfait, ça avait bien vite fait place à de l'irritation...Pour qui il se prennait le type? Il se sentit beaucoup mieux quand qu'il fut par terre, et honnêtement il se foutait pas mal si il était mort ou non, comparé à braqueur 2 qu'il sentait lui lancer des éclairs.

Braqueur-chef : sorter tous vos cellulaires et objects électroniques MAINTENANT!.

Le plan pourrait poursuivre et peut-être que maintenant on le prendrait au sérieux...PAr ce qu'il était sérieux...Et pas à peu près.

Spoiler:

Arthur détestait le monde, les lieux où des gens se bousculaient, se précipitaient comme si la mort était à leur trousse. C'est pourquoi il se redemanda pour la centième fois au moins pourquoi... Pourquoi était-il venu dans un parc d'attraction bondé de monde ?! Il se repassa une deux-centième fois la main sur le visage. Il avait mal à la tête à cause de ces gamins qui braillaient devant le stand de barbe-à-papa, de ces ados qui hurlaient à cracher leurs poumons dans des attractions du genre mixeur, et même de ces vieillards séniles qui, en critiquant les gens bruyants, sont encore plus bruyants qu'eux.

Pour la cent-unième fois... Pourquoi était-il venu dans ce parc ? Il se souvenait vaguement être allé en ville pour acheter un je-ne-sais-quoi quelconque... Et là, une femme l'avait tiré par l'oreille et jeté dans un bus sans qu'il comprenne pourquoi. Finalement, au bout d'une demi-heure de route passée dans un car avec des scouts qui chantaient des chansons à s'en briser les tympans, il comprit que la femme l'avait prit pour... un des leur. Une demi-heure à se retenir de frapper un des mômes, à se taper la tête contre les parois du bus. Il avait failli devenir dingue.

Et donc, il s'était retrouvé dans un parc d'attraction - la femme avait payé sa place et s'était excusé de sa méprise - où le bruit était encore plus insupportable. Heureusement, il était accompagné de ses amis de toujours, et de son meilleur ami, j'ai nommé... Son ordinateur, ou plutôt un de ses ordinateurs portables ! Il avait donc cherché - looongtemps - la tranquillité et avait fini par se trouver un café silencieux, presque vide.

Près de la grande baie vitrée qui donnait sur des attractions (bruyantes...), il y avait une jeune femme qui lisait un livre de la taille d'une encyclopédie. Du côté du mur, le plus dans l'ombre, un homme aux allures de sans-abris devait lui aussi se demander ce qu'il faisait dans un parc hors de prix. Un gosse faisait des dessins sur une table: sa mère devait être partie aux toilettes ou nul ne sait où. Il entra, satisfait d'avoir trouvé cet endroit. Oh quelle grosse erreur de s'être fié à se silence !! A peine s'était-il installé à une table, PC ouvert, qu'un sale type armé entra en gueulant

"Tout le monde par terre !"

... Ce qu'il était chanceux... Pendant une minute, il hésita entre péter son câble et se suicider pour enfin obtenir le calme, ou obéir calmement jusqu'à ce qu'il finisse par vraiment devenir taré. Un garçon (... Plus grand que lui, pour changer) commença à protester, et Arthur se demanda s'il n'était pas déjà un peu dingue.

"Pourquoi? J'veux dire, c'est bien se mettre par terre dans la mesure où vous voulez que je me mette par terre et que vous avez l'arme mais dans cette mesure où on peu appeler ce que vous faites mal me mettre par terre serait insensé ! Non bien sûr insensé dans le sens qui n'a pas de sens après tout, ça a quand même du sens de se mettre par terre dans la mesure où vous voulez que je me mette par terre et que vous tenez l'arme, mais si vous voulez que nous nous mettions par terre c'est pour mieux nous maîtriser et ça n'a pas beaucoup de sens dans la mesure où nous maîtriser par force ne vous apportera rien, hein? J'veux dire si ça serait une banque okay, j'pourrais comprendre... Oh, En fait pas vraiment, je suis complètement contre le crime...Contre le crime, pas les infractions, faut pas confondre après tout, quelque chose peut-être une infractions sans vraiment être un crime...J'imagine que la différence entre..."

Alors qu'Arthur - la tête prête à exploser, était sur le point de lui hurler de la fermer parce qu'il commençait à être de mauvaise humeur à cause de cette journée de merde, le sale type - que finalement, Arthur commença à apprécier (enfin peut-être pas quand même) - le devança:

"NON MAIS TU VAS TE LA FERMER?! PAR TERRE J'T'AI DIT!"

Arthur se glissa discrètement sous la table, et se sentit ridicule assis par terre. Si le sale type commençait à devenir méchant, il allait pas jouer avec sa vie - bien qu'elle ne soit pas si extraordinaire que ça.

"Non mais pas la peine d'être aussi brusque ! J'veux dire vous avez l'arme et tout, mais c'est pas une raison pour être grossier ! Les policier dans les rues, l'armée, les voyez-vous hurler sur tout ce qui bouge ? Non justement, c'est quoi votre problème, J'veux dire, autre qu'apporter une arme dans un parc d'attraction. Mais on était pas vraiment là, j'veux dire une arme fait pas nécessairement le pouvoir, nah ? et il y des moyens polis d'obtenir ce que vous voulez ! D'ailleurs qu'est-ce que vous voulez, faudrait savoir par ce qu'honnêtement "le crime ne paie pas"...Héhé, ça doit être la différence entre le crime et les infractions non ? Non que les infractions paient...Alors c'est pas vraiment la différence désolé...En fait je pense que..."

Voila qu'il recommençait. Que quelqu'un le fasse taire ! A cet instant précis, un autre sale type - car trois autres braqueurs avaient rejoint le premier pendant sa tirade - l'assomma avec son arme ce qui projeta le gamin à terre. Il était plus content qu'il se soit tut, mais c'était un peu abusé. Ces quatre types étaient violents, et leurs actes étaient répugnants. Si il avait eu un super pouvoir du genre qu'ont les gens qu'il a rencontré depuis son arrivée en ville, il leur aurait déjà cassé la gueule. Mais comme ce n'était pas le cas, il se contenta de rester inutile, de plus en plus de mauvaise humeur.

Le braqueur qui parlait fort depuis tout à l'heure avait l'air d'être le chef, et il ne semblait pas vraiment content.

"Sortez tous vos cellulaires et objets électroniques MAINTENANT !"

Voila qui était embarrassant. Il tenait trop à sa précieuse électronique pour la confier à un type louche et grossier. Peut-être était-ce parce que son cerveau avait commencé à être en surchauffe, peut-être était-ce parce que le garçon beaucoup trop bavard l'avait motivé, mais il se sentit assez fou pour se relever et provoquer à son tour le stupide braqueur.

"Là on va avoir un petit problème, commença-t-il, parce que j'ai pas vraiment envie de vous donner mon bordel, voyez-vous ? En plus, ça dépend ce que vous entendez par électronique, parce que pour tout vous donner, il faudrait que je m'auto-découpe en rondelles et c'est pas que ça me dérange..."

Il essaya de se contenir, mais deux secondes plus tard il abandonna et explosa

"MAIS POURRIEZ-VOUS FERMEZ VOS GUEULES, JE COMMENCE A EN AVOIR MARRE !"

Il donna un coup de pied dans la table - après avoir soulevé son ordinateur - et la renversa à terre, signe qu'il commençait à péter les plombs. Ce n'était pas très extraordinaire, après tout il ne passait pas une heure sans s'énerver sur quelqu'un. Il venait de choisir son souffre-douleur, qui était, hélas, armé. Les quelques autres victimes du café murmuraient, mi effrayées, mi amusées par ces drôles de type qui risquaient leur vie pour quelque chose d'aussi "banal" qu'un braquage... De... De... Bah, de café quoi.

Lalwende avait toujours voulu aller en ville, sans se faire remarquer. Chose difficile, vous laissant deviner pourquoi. Elle avait opté pour une capuche. Habillée pour une raison inconnue dans des tons sombres, elle passait inaperçu. Elle sautillait de temps en temps sur le chemin, attirant par la même occasion le regard des passants. L'effet escompté avait eu lieu, pas longtemps, certes, mais il avait été là. Elle avait pu se sentir comme un humain, parmi eux. Ca avait quelque chose qu'appréciait la jeune fée, sans vraiment être de la même race.

Elle se baladait tranquillement en ville quand un portail géante fut dans son champ. Elle s'arrêta de marcher. Elle regarda pendant quelques secondes le portail. Sa bouche formait un parfait "o". Les gens qui ne regardaient pas avait vite fait de la bousculer, et elle de remettre sa capuche correctement. Nous ne sommes jamais à l'abri d'un regard trop curieux. Surtout que ses oreilles étaient plus longues que ça tête, créant des petites bosses si la capuche était trop petite.

Bref.

Elle déambulait tranquillement entre les allées. Regardant les gens. avec leur bricole. La barbe à papa lui donnait envie. Elle s'approcha et regarda sa fabrication. Une fois faite, elle quitta le marchand et en fit apparaitre une. Elle continua de marcher et entra dans un café. A peine arrivée, un homme armé entra en gueulant un :

"Tout le monde par terre !"

Elle resta bêtement debout, continuant de manger sa friandise. Est-ce un nouveau jeu ? Elle reconnut le jeune garçon du gratte ciel, la dernière nuit. Elle n'en était pas sûre, mais la suite la fit changer d'avis.

"Pourquoi? J'veux dire, c'est bien se mettre par terre dans la mesure où vous voulez que je me mette par terre et que vous avez l'arme mais dans cette mesure où on peu appeler ce que vous faites mal me mettre par terre serait insensé ! Non bien sûr insensé dans le sens qui n'a pas de sens après tout, ça a quand même du sens de se mettre par terre dans la mesure où vous voulez que je me mette par terre et que vous tenez l'arme, mais si vous voulez que nous nous mettions par terre c'est pour mieux nous maîtriser et ça n'a pas beaucoup de sens dans la mesure où nous maîtriser par force ne vous apportera rien, hein? J'veux dire si ça serait une banque okay, j'pourrais comprendre... Oh, En fait pas vraiment, je suis complètement contre le crime...Contre le crime, pas les infractions, faut pas confondre après tout, quelque chose peut-être une infractions sans vraiment être un crime...J'imagine que la différence entre..."

Elle soupira bruyamment. Oui, c'était bien lui. Elle en était sure et certaine, pouvant même mettre sa main au feu.

"NON MAIS TU VAS TE LA FERMER?! PAR TERRE J'T'AI DIT!"

"Non mais pas la peine d'être aussi brusque ! J'veux dire vous avez l'arme et tout, mais c'est pas une raison pour être grossier ! Les policier dans les rues, l'armée, les voyez-vous hurler sur tout ce qui bouge ? Non justement, c'est quoi votre problème, J'veux dire, autre qu'apporter une arme dans un parc d'attraction. Mais on était pas vraiment là, j'veux dire une arme fait pas nécessairement le pouvoir, nah ? et il y des moyens polis d'obtenir ce que vous voulez ! D'ailleurs qu'est-ce que vous voulez, faudrait savoir par ce qu'honnêtement "le crime ne paie pas"...Héhé, ça doit être la différence entre le crime et les infractions non ? Non que les infractions paient...Alors c'est pas vraiment la différence désolé...En fait je pense que..."

Un de ses sbires vint se mettre derrière le garçon et lui donna un grand coup avec son arme. Il se retrouva au sol. Elle en fit tomber sa barbe à papa et accouru vers lui. Lui agrippant les épaules, elle n'eut pas le temps de faire quoi que ce soit d'autre. Le même sbire lui pris le col et s'approcha de son visage. Tout sourire. Elle recula sa tête, répugnée devant lui.

-Et bi...

Elle lui donna un cop qui l'obligea à la lacher. Elle accouru de nouveau vers le jeune homme et le prit dans ses bras. Elle n'avait pas encore remarqué que pendant sa course, sa capuche était tombée, rendant visible ses appendices de fée.

-Hey ! faut pas t'endormir !

Le braqueur qui parlait fort depuis tout à l'heure avait l'air d'être le chef, et il ne semblait pas vraiment content.

"Sortez tous vos cellulaires et objets électroniques MAINTENANT !"

Un autre braqueurs se rapprocha de la fille. Il la regardait, mi surpris mi dégouté. Elle sursauta et écouta un jeune homme.

"MAIS POURRIEZ-VOUS FERMEZ VOS GUEULES, JE COMMENCE A EN AVOIR MARRE !"

Il donna un coup de pied dans la table et la renversa à terre. Elle serra plus Matthew, plus pour se rassurer elle même que le rassurer lui. Il était le super-héros des deux. Et en ce moment précis elle ne savait pas trop quoi faire pour aider à part essayer que le héros ne tombe pas dans les pommes après son coup. Elle entendait des murmures, mi effrayés, mi amusés par ces drôles de type qui essayaient de braquer un café... Il est vrai que ce n'est pas commun. Cela la fit quelque peu sourire. Elle souffla à la personne dans ses bras :

-Ca va toi ?

Braqueur 3 était plutôt un type ordinaire, et bien que le braquage ne soit pas son premier crime, ses antécédents étaient plutôt mineurs. Mais bon. Son rôle était clair, rassemblé les otages et suivre les ordres du chef , alors que de la pointe de son arme il faisait avancé la caissière apeurée (les cuisines étant vides il avait cadenassé la sortie arrière du bâtiment ) il aperçu la petite fille (adolescente?) qui semblait plus jeune que lui, dans des vêtement sombres. Il fût un peu surpris par le moulin à paroles et honnêtement content qu’on lui eu fait fermé sa trappe. Il délaissa la caissière qui alla naturellement joindre le clochard la fille à l’encyclopédie et l’enfant qu’un de ses complices avait rassembler tel un troupeau de mouton, en faveur d’attraper le col de la fille mystérieuse qui semblait agité pour le moulin à paroles. Il la regarda de plus près…Eh elle semblait mignonne! Elle avait vraiment un charme fou avec ces cils sur ces yeux qui….

-Et bi…

…Son genoux…Ouch…La…La…La sale petite peste!Il allait…Mais se récipitant vers le garçon inerte il fut légèrement bouche bée…Était-ce une mascotte du parc? Elle sortait définitivement de l’ordinaire avec…

-"Là on va avoir un petit problème, commença-t-il, parce que j'ai pas vraiment envie de vous donner mon bordel, voyez-vous ? En plus, ça dépend ce que vous entendez par électronique, parce que pour tout vous donner, il faudrait que je m'auto-découpe en rondelles et c'est pas que ça me dérange...

Euh….De quoi parlait-il? Et pourquoi diable parlait-il en premier lieu!! Ils avaient les armes, c’étaient les otages , ils étaient sensé obéïr!!!

Mère :-NAOKO….

Oh quoi encore? Une femme sortit des toilettes et resta figer un instant devant la scène avant que le kid qui faisait partit des otages commence à hurler de toute ses forces « Maman » « Maman »…

-"MAIS POURRIEZ-VOUS FERMEZ VOS GUEULES, JE COMMENCE A EN AVOIR MARRE !"

Recommença le kid punk bizarre… Et Braqueur 3 fut presque reconnaissant pour le silence qui suivit, bien qu’un peu abasourdit…C’était quoi ça? Ils étaient supposés se là fermer quand EUX le disait…Ils étaient sensé brayer dans leurs coins pour leurs vie alors qu’eux appelait la direction du parc d’attraction pour une rançon…Lentement il approcha braqueur-chef et lui murmura (quoi que dans le silence qui suivit le pétage de plomb du punk presque tout le monde pus entendre.)

Braqueur 3 :-Qu’est-ce que l’on fait maintenant Kaf?

Un œil mauvais se tourna vers lui et Braqueur 3 recula main

Braqueur-chef : Tu fais ce que je te dis…(puis regardant malicieusement l’espèce de punk) tu vas me donner ton cellulaire (s’adressant au groupe) je veux tout cellulaire Iphone ou moyen de communication rapide portable par terre, précisa-t-il, Toi (dit-il en s’adressant avec son arme à l’espèce de fille mascotte et le gamin qui ne répondait pas) va rejoindre les autres.

Finalement Braqueur 4 avait trouver un moyen d’abaisser les rideau et la pièce était maintenant illuminée seulement par la lumière artificielle. Braqueur-chef ne laisserait pas la situation lui échappé…Peut importe comment bizarre elle pouvait devenir il en resterait maître.

Braqueur-chef : J’espère que vous comprenez que vous êtes maintenant des otages…Je suis pas quelqu’un de particulièrement cruel, et tant que vous resterez tranquille et ne ferez pas de trouble tous devrait bien se passer…Mais dans l’éventualité contraire…Bah je suis sûre que personne ne veux en arriver là…

Il jeta un œil à ses complice…Braqueur 2 semblait légèrement inquiet à savoir si le kid qu’il avait frapper allait bien, il se tenait près d’eux son arme en main, non loin de là, Braqueur 3 qu’il pouvait voir masser sa jambe regardait d’un œil mauvais l’adolescente bizarre, prêt à « l’aider » à rejoindre le groupe si elle prenait trop son temps, Braqueur-chef espérait que son recensement serait vite abandonné et qu’il n’en ferait pas une affaire personnelle…Ce qui pourrait mal tourné . Braqueur 4 tapait légèrement de son bat dans sa main près du groupe qui occupait une position proche de la baie vitrée maintenant couverte. Son regard était cependant sur le punk, prêt à « intervenir » s’il ne se calmait pas.

Spoiler:

Après son coup de colère, le silence qui suivit fut tellement gênant qu'Arthur se sentit stupide et en fut encore plus énervé. Braqueur 3 se glissa près du chef et murmura - bien qu'un sourd aurait pu tout entendre:

"Qu’est-ce que l’on fait maintenant Kaf ?"

Kaf était son nom ? Il adressa ses ordres pendant qu'une jeune fille avec de longues oreilles se précipitait aux côtés du bavard évanoui. C'était la deuxième fois qu'Arthur croisait une elfe, bien que celle-ci n'avait pas le calme serein qu'ont habituellement les elfes.

"Tu vas me donner ton cellulaire" lui dit le chef avant de s'adresser au groupe: "Je veux tout cellulaire, I-phone ou moyen de communication rapide portable par terre."

Il était gonflé ce type !! Arthur venait de lui dire qu'il n'avait aucune envie de lui donner ses affaires.

"J’espère que vous comprenez que vous êtes maintenant des otages…Je suis pas quelqu’un de particulièrement cruel, et tant que vous resterez tranquilles et ne ferez pas de trouble tout devrait bien se passer… Mais dans l’éventualité contraire…Bah je suis sûr que personne ne veut en arriver là…"

Des menaces ? Nan mais il se prenait pour qui, ce gros lard ?! Lentement, les otages se regroupèrent dans un coin de la pièce. L'elfe était toujours au chevet du moulin - à paroles - n'ayant pas l'air de se décider à bouger. Braqueur 3 regardaient ces drôles de gens avec impatience.

"Maintenant, les cellulaires, vite !" répéta le chef qui devait trouver les réactions beaucoup trop longues.

Arthur remarqua que le braqueur 4 le fixait. Il était grand, gros, avec une batte. Arthur posa délicatement tous ses engins électroniques (5 ou 6, il était dans un parc d'attraction après tout, il allait pas tout prendre...) sur une autre table (ayant renversé la sienne), et, accompagnant ses mouvements d'un geste grossier envers l'ensemble de la pièce, alla rejoindre en marchant les otages regroupés. Les volets ayant été fermé, l'ambiance était plus "renfermé" et calme. On entendait moins les attractions au dehors, et les otages s'étaient tus. Il avait donc lui-même retrouvé son calme.

Il jeta un œil au garçon à terre. Finalement, il se releva, le souleva comme il put puisqu'il était plus grand que lui (toujours sur les nerfs qu'il parle autant on peut dire qu'il le fit brusquement) et l'assit contre un mur aux côtés des autres otages. Puisqu'il était évanoui, il ne valait mieux pas jouer avec sa vie. Quand à l'elfe, il lui fit signe de se calmer un peu. Il serait beaucoup plus simple d'agir avec un peu de recul, que de foncer dans le tas.

"Bien, dit enfin le chef, voilà le topo: Vous êtes à notre merci. L'un de vous va appeler la direction pour confirmer que vous êtes des otages, et ça nous permettra de demander une rançon. Un volontaire ?"

Il sourit: ses dents étaient cariées et son sourire faisait presque peur. Arthur n'avait aucune envie de se récolter ce rôle, comme aucun autre des otages. Il jeta un coup d'œil à la jeune elfe: sa réaction montrait à quel point elle n'en faisait qu'à sa tête. Il ne valait mieux pas... Mais un moulin à paroles ? Les braqueurs comme le type de la direction, allaient craquer en à peine une minute... Autant que ce soit lui, alors.

Il poussa en avant le corps de l'endormi, et dit:

"Il se porte volontaire !"

Il savait que, malgré la situation, ça serait un spectacle comique qu'il ne voulait surtout pas rater.

L'un des braqueur se glissa près du chef et murmura d'une manière non silencieuse:

"Qu’est-ce que l’on fait maintenant Kaf ?"

Elle regarda les hommes. N'aimant pas vraiment la situation dans lequel elle s'était mise.

"Tu vas me donner ton cellulaire" lui dit le chef avant de s'adresser au groupe: "Je veux tout cellulaire, I-phone ou moyen de communication rapide portable par terre."

Elle n'avait rien de tout ces engins. Et je pense que l'homme aux lunettes devait ne pas apprécier les gens, au vu d regarde qu'il leur lança.

"J’espère que vous comprenez que vous êtes maintenant des otages…Je suis pas quelqu’un de particulièrement cruel, et tant que vous resterez tranquilles et ne ferez pas de trouble tout devrait bien se passer… Mais dans l’éventualité contraire…Bah je suis sûr que personne ne veut en arriver là…"


"Tss..."

"Elle nous cherche la créature ?"

La... Créature ? Elle n'était pas une créature. Un être différent, mais pas de créature. Elle lui jeta un regard noir. Si tout les hommes étaient comme ça, elle était mal barrée ici. Toujours à la même place elle ne bougerait pas.

"Maintenant, les cellulaires, vite !" répéta le chef qui devait trouver les réactions beaucoup trop longues.

Finalement, le garçon déposa ses engins sur une table. Il en avait beaucoup sur lui. Lalwende se demandait pourquoi les humains avaient besoin de tous cela. Il n'y avait rien qui puisse l'amuser, pour elle. Il rejoignit les autres otages. Dans la pièce, les otages tentaient plus ou moins de se rassurer, ou de calmer les enfants. Elle aurait bien usé de ses pouvoirs mais, s'abstint. La pénombre de la pièce, du à la fermeture des volets rendait l'ambiance plutôt pesant. Les rires et cris des gens parvinrent à ses oreilles, qui bougèrent légèrement, et tourna la tête vers les fenêtres.

-Ils vont surement se demander pourquoi ce café est déjà fermer nan ?

Elle vit le jeune homme se relever et prendre le héros. Elle le regarda, étonnée. Il le mit contre un mur. Elle ne bougea pas et l'un des braqueurs lui donna un léger coup pour lui faire comprendre d'aller les rejoindre. Sans trop de réaction de sa part.

"Bien, dit enfin le chef, voilà le topo: Vous êtes à notre merci. L'un de vous va appeler la direction pour confirmer que vous êtes des otages, et ça nous permettra de demander une rançon. Un volontaire ?"

Elle voulu le suivre mais ce fit envoyer au sol par un coup de crosse dans le ventre. Elle se tenait le ventre les larmes aux yeux. Le braqueur lui attrapa l'oreille et la tira pour la trainer vers le groupe, quoi qu'un peu à part. La jetant contre le mur. Elle peina à se mettre contre le mur. Elle vit que le binoclard poussa le corps du héros, tombait dans les pommes. Il poussa en avant le corps de l'endormi, et dit:

"Il se porte volontaire !"

Elle écarquilla les yeux et le regarda. Il était fou, et elle voulu répliquer.

-Mais t'es dingue il ... Aaïe !

Le même braqueur lui redonna un coup au ventre.

-Tais toi !

*'' -Réveille''*

Euh? Mais noonn!!! Il devait même pas être l'heure avec à quel point il se sentait fatigué..
*''-Réveille''*

Ah la la, elle était persistante aujourd'hui...IL avait dit elle? Argg,ça pouvait également être ''il"...Pourquoi avait-il dit ''elle''? Par ce que le ciel est bleu héhé!!! Eh? Mais quel rapport ça avait? Anyways , lorsqu'il parlait (en faite plus pensait, mais ne jouons pas sur les détails) de son ami(e?) c'était toujours avec tendresse dans la voix. Elle (encore?) avait toujours son intérêt à coeur et le soutenait toujours...Mais franchement, là il voulait vraiment dormir!

-Il Se PoRtE vOlOnTaIrE

Hein? La voix était lointaine et affreusement difforme grave et aigus, s'étirant et se rapprochant...Qui parlait? C'était comme à travers un mur d'eau...Ah il se portait volontaire!Oui il était le héros après-tout...Mais il dormait non?

-Mais t'es dingue il ... Aaïe !

Ah une autre voix...Aussi difforme mais plus famillière...Quelqu'un était en danger nah?...Il devrait peut-être se lever...Ah...Mais il était si fatigué!!!Okay on commence par oeil. mmmmmmAAARRRGGGG.........Ça y était!!!

Et juste comme ça, le mur mur qui semblait lui peser dessu disparu...

Braqueur-chef: Faîtes pas les malins avec moi! Y'e....

Un grognement s'échappa de ses lèvres...Fuck...Sa tête le tuait!!!On aurait dit qu'il s'était fait rouler dessu par un char d'assaut qui soudain avait oblier de quoi et était revenu une couple de fois.La pièces semblaient tournée et se dédoublé en même temps et un bourdonnement affreux assaillait ses orreilles, faisant apparaître sa voix lointaine alors qu'il repliqua...

-J'me porte volontaire....

Il ne savait pas s'il avait interromppu de quoi, après tout, il arrivait difficilement à se concentrer...Pour quoi se portait-il volontaire d'aillerus?....Euh...Qu'est-ce qui se passait?...Il avait juste cet espèce de mal de tête atroce , tentativement, il glissa une main dans ses cheveux et hissa lorsqu'elle fit contact avec l'endo de sa tête. Il avait évidamment de quoi, dans un bref moment de lucidité il espéra qu'il n'avait pas de commotion...Ça serait pas amusant et Jodie et Ricardo seraient fâchés...Ce dernier l'attendait toujours dans le parking d'ailleurs...

Parking?....Ça sonnait de quoi....

Spoiler:

Aussitôt, l'elfe protesta contre sa décision:

"Mais t'es dingue il ... Aaïe !"

L'un des gros types la frappait pour la 2eme ? 3eme fois ? Il se disait qu'elle l'avait cherché - elle aurait sans doute dû se faire plus obéissante - mais tout de même...

"Eh, toi !"

Il pointa le doigt vers Braqueur 3 et lui dit, calmement mais on pouvait sentir sa colère:

"Frapper une femme est un acte lâche et indigne d'un homme. T'auras jamais de gonzesse !"

Ce dernier s'apprêtait à répliquer - à coups de poings s'il le fallait - mais fut coupé par le braqueur-chef qui lança un regard noir au boulet, d'un air agacé:

"Faîtes pas les malins avec moi! Y'e...."

Mais il fut lui-même coupé par une voix endormie et pâteuse qui venait du garçon évanoui - mais qui du coup ne l'était plus:

"J'me porte volontaire..."

Il ne savait visiblement pas de quoi il parlait, parce qu'au lieu de se relever pour appeler la direction, il resta assis, le regard dans le vide, pensif. Arthur, pris de remords, se demanda si le coup qu'il s'était pris plus tôt avait été vraiment puissant, et s'il pourrait quand même recommencer à parler beaucoup. Décidément, il ne parlait que lorsque ça pouvait fatiguer l'auditoire.

Il était peut-être en colère et vraiment pénible, Arthur n'en était pas pour autant cruel. Bien que ce soit lui qui l'ait porté volontaire, il demanda au bavard:

"Tu es sûr ? C'est que... T'as vraiment l'air HS"

Mais de toute façon, il n'avait pas le choix: il ne voyait pas qui d'autre serait capable d'arranger l'embarras dans lequel ils étaient tous fourrés: c'était son meilleur plan. Autant dire que c'était perdu d'avance.

La fée avait affreusement mal au ventre. Le simple fait de le frôler n'arrangeait rien. Elle entendit le garçon parler :

"Eh, toi !"

Elle avait gardé les yeux fermés, ne voulant pas voir de nouveau coup arriver. Le ton qu'il prit avait été d'un calme exemplaire, même si l'on entendait poindre une petit touche de colère.

"Frapper une femme est un acte lâche et indigne d'un homme. T'auras jamais de gonzesse !"


"Faîtes pas les malins avec moi! Y'e...."

Il fut coupé par la voix du héros. Il semblait revenir de loin et n'avait, du moins par sa voix, rien du héros qu'il voulait etre, lorsqu'ils avaient parlé sur le toit du gratte ciel. Elle se releva et souffla un peu.

"J'me porte volontaire..."

Elle écarquilla les yeux. Il en était sur ? Elle se releva péniblement en prenant appui sur le mur pour les rejoindre, tout les deux. Il resta assis, avec une espèce de regard vide, qu'elle pensait ne jamais voir sur son visage. Elle voulut même lui demander si ça allait mais fut devancée par le blond.

-Est-ce qu...

"Tu es sûr ? C'est que... T'as vraiment l'air HS"

Elle baissa la tête et s'assit à côté d'eux et souffla dans l'oreille du bavard en souriant :

-Sois un héros

Spoiler:

La porte se referma sur le garçon, braqueur-chef et braqueur 2. Arthur ne pouvait pas savoir ce qu'il se passait dans cette autre pièce et se demanda, légèrement inquiet, s'il avait bien fait. Braqueur 4 commençait à ligoter tout le beau monde. Arthur se tourna vers l'elfe, qui avait l'air de connaître ce... "héros" ? Elle l'avait appelé comme ça.

"Tu... Tu le connais ? Il s'en sortira ?" lui demanda-t-il, mal à l'aise.

Après tout, il l'avait mis dans cette situation sans rien connaître de lui. Il cherchait à se rassurer quand il entendit le concerné crier à côté:

"PUTAIN C'EST UN BRAQUAGE !!!"

Arthur se prit la tête dans les mains. Il était donc si lent ?! C'était consternant. Comment avait-il put lui refourguer le travail le plus chiant alors que n'importe quel autre otage l'aurait sans doute mieux fait ? Il allait se faire tuer si ça continue.

"Hé, ça va ? Faut pas que tu meurs, ou alors on aura pas ta part de rançon" dit le braqueur 4 d'une voix bourrue. Il ricana de sa blague avant d'essayer de lui attacher les mains. Arthur ne se laissa pas faire, et protesta. Au bout d'une ou deux minutes, le braqueur en eut assez:

"Bon, si t'arrêtes de faire chier, j't'attache pas. Mais t'as pas intérêt à bouger d'un pouce."

"Suffit, attache-le" grogna braqueur 3, et Arthur se trouva finalement poignets ligotés.

"A votre tour, p'tite demoiselle" continua-t-il en se tournant vers l'elfe, le visage fatigué. Il avait l'air de... s'ennuyer, et venant d'un braqueur, ça n'était pas vraiment bon signe.

[HRP: Pardon ne me frappez pas pour cette réponse vide et sans intérêt T_T *à genoux* Épargnez-moiiii !]