Une jeune fille aux yeux bleu marines me souriait d’un air doux teinté de mystères. J’allais lui parler lorsqu’elle posa un doigt mutin sur ma bouche pour m’intimer le silence. Puis elle se rapprocha de moi, ses mèches blondes caressant mon visage, et se mit soudain à me hurler dessus d’une voix stridente.

Je me réveillais immédiatement, l’esprit encore embrumé, la belle s'était évaporée, ce n’était qu’un rêve. Quel dommage. La sonnerie venait de mon téléphone portable,ce n'était pas la fille de mon rêve mais tout comme. Je répondais d’une voix ensommeillée :

-Allo ?
-Connard !
-Enchanté, moi c’est Fail.
-Me fais pas chier, tu m’avais promis ma dose depuis hier.
-Et j’ai oublié.
-T'attends quoi pour ramener ton cul ici alors ?!

Puis mon interlocutrice me raccrocha au nez, charmant réveil. Je me levais puis ramassais un jean, un tee-shirt et caleçon propre trainant dans un coin de ma commode. Dieu que cette femme était chiante, une droguée qui me traitait comme son esclave. Je n’avais d’ordre à recevoir de personne, mais la vie m’avait apprise à mes dépends qu’une femme en colère était bien pire qu’une armée de bouchers maniaco-dépressifs. Et qu’étais-je dans tout ça ? Un simple commerçant de petits stupéfiants hallucinatoires qui roulait sa bosse à l’intérieur du campus. Seuls les connaisseurs savaient où me trouver et seules les femmes savaient comment me faire venir à elles.

Je me lavais le visage et terminais de remplir ma sacoche en bandoulière avec toutes mes petites affaires. Dix minutes de brossage, parfumage, lavage et d’autres choses en –age plus tard, je rendais invisible mon sac et quittais ma chambre aux murs jaunes canaris. Les surveillants ne devaient surtout pas avoir vent de mes trafics de stupéfiant, le sac invisible était une simple mesure de précaution.

J’ouvrais un paquet de chupa-chup qu’une fille m’avait offerte, faute d’argent pour payer son joint, puis le dégustais tout en marchant d’un air blasé. Mon cerveau avait besoin de sucre pour fonctionner après un saut du lit aussi dynamique. Du point de vue des autres, je n’étais qu’un mec trainant dans le dortoir avec un air d’indifférence. S’ils savaient ce que je trainais, ha ! Ces imbéciles de l’administration n’avaient aucune idée de se qui se traficotait chez nous les étudiants anormaux.

Je m’avançais dans le couloir avec pour destination finale, la bibliothèque. C’était mon QG, mon lieu de commerce par excellence. La demoiselle dont je n’arrivais pas à retrouver le nom devait certainement m’y attendre. Que ne ferais-je pas pour une femme ?
Mais un gamin courant à travers le campus me fit reculer brusquement. Dans mon mouvement, je percutais une fille que je rattrapais de justesse par la taille. Puis en la redressant, j’en bousculais une autre derrière, fais chier. Tout en empêchant ma sucette de se faire la malle avec les dents, j’essayais d’articuler :

-Excusez-moi les demoiselles, j’espère que vous n’avez rien de cassé.

Je soupirais intérieurement, mon pouvoir n’avait pas fait de zèle, mon sac à dos précieux restait invisible.

Une petite matinée comme je les aimes... Le soleil était levé, l'odeur de la rosée du petit matin me fit sourire, l'odeur était agréable, mais pas celle de la terre mouillé. Je marchai dans une foret assez ombragé ce qui m'évitai d'être au soleil. J'avais laissé mon sac à l’hôtel, et ne commençait pas avec vos idées mal placées. Je me faufilai entre les arbres et les taches de lumière. Je m'étais mis ma petite cape blanche, avec ma petite tenue rouge très ouverte, bien trop pour certaines personnes. Le bonheur quand on est un vampire, c'est qu'on a la chance d'avoir plusieurs années. Courir avec des talons c'est pas le top et encore moins dans la terre du matin, ainsi j'étais heureuse d'avoir un siècle d’habitude au talon. En même temps mes tenues n'étaient faite que par moi, les habits de nos jours ne sont pas de mon gout et encore moins les types. Plus je courrai, plus mes pieds s’enfonçaient dans la terre humide, je commençai à tirer une tronche à chaqu'une de mes foulées. Le vent souffla pour me décapuchonnai à moitié, je m’arrêtai net pour éviter un rayon de soleil, je me capuchonnai et continuai à courir. Je vis le mur, un mur d'enceinte d'une hauteur de trois à quatre mètre, le portail était à une centaine de mètre de moi. Pourquoi passer par la porte quand on peux passer par le mur ?
Je pris un petit sprint et lorsque je fus qu'a une dizaine de mètre du mur je sautai. Je crus que je devrais mettre un genou à terre pour salir ma tenue... Le bonheur... Le problème quand on saute c'est qu'on a nos habits qui s'envole... Ma capuche et ma petite cape s'envolèrent laissant mon dos nu. Le soleil me brûla, j'eu enfin du contact avec le mur, une petite roue et c'était fini. Je me trouvai de l'autre coter du mur, j’atterrai dans un grand fracas de terre et de feuille. Ma peau se régénérait déjà. Je remis ma tenue correctement et continuai à courir.

J'entrai dans les murs du bâtiment centrale. C'était ...
Moche !
Couleur pale ... Pourquoi ne pas tout mettre en blanc ?! Je parcourus les couloirs, le silence régnait, un peu flippant cette endroit. Je ne pus que sourire à ma remarque débile de gamine. Je marchai quand je vis BIBLIOTHÈQUE, j'hochai la tête et entrai. C'est vrai que je n'étais pas passé par la case : Vie Scolaire ou Bureau du principale juste pour me foutre de la gueule de mes futurs ... Futurs Collègues ! Une bande d'abruti fini qui m’énerverait jusqu'à ce que je m’en aille. Je poussai la porte quand je tombais sur personne... Enfin c'est se que je croyais, une fille qui s'agitait un peu dans tous les sens. Elle commençait à parler toute seule... Je me retourna la main sur la poignée pour lâcher une petite phrase :

- Beh je sais ou j'vais les envoyer...

La bibliothèque devait être rament utilisé, ce qui me chagrinai un peu, mais sa n'allait pas durer... Je poussai la porte et retombai à nouveau sur le couloir mais cette fois ci, il était habité. Il y avait une fille que j'avais croisé quelques mois plutôt... Comment elle s’appelait ? An... Ane... Ani... Anri ! Sayez j'ai trouvé... Pas facile son prénom aussi... Avec un minus ... Un prétentieux avec un dégradé de couleur rouge-jaune sur la tête. Il ressemblai un peu à un type gay, il ne manquait plus que le jumeau pour accordé sa et sa aurait été un Ouran High School, assuré... Anri s'approcha de moi et dit :

- Natsu euh... professeur pardon ca va ?

Elle m'enlaca se qui me troubla un peu, puis se dégagea. Elle fit un sourrire au type et s'en alla. Sans rien dire... même pas pu répondre... Elle m'a planté avec ce ... Cette chose quoi... Je ne résitai à l'envie de lui répondre juste avant qu'elle ne tourne dans un autre couloir :

- Anri ! Je te répondrai en cour !

Je regardai à nouveau le garçon pour voir qu'il y avait quelques choses de pas normal sur ce type. Son odeur ? Non encore que... Une petite odeur d'herbe... Je n'en savais rien pourtant ceci me fit presque froncé les sourcils, mais j'ai bien dis presque. Je ne savais trop quoi lui dire... On peut être timide a 226 ans ! Il me refroidissait en me laissant neutre pour autant. Il était bizarre...

[A vous de rep désolée un peu baclé un peu à court question imagination...]

J'eu un petit peu froid comme un frisson, une chaleur intense me parcourut juste après... Oki on a le sang froid mais on peut avoir des sensations. Je souris, puis je regarda le jeune homme, oui ils sont jeunes pour moi, même si ils ont mon physique... Je m'approchai de l'inconnu, son visage à quelque centimètres du mien. Je décalai mes lèvres pour être près de son oreille gauche et je lui chuchotai :

- Si tu veux rire rejoins nous dans la salle d'histoire... la... 3-D . Et tu sais l'odeur est toujours là...

Je touchai l'endroit ou il y avait quelque chose qu'il s’appuyait à lui. Caressant l'objet puis je glissai ma main sur son bras, me retournai vers la direction qu'avait prise Anri et laissa ma main atteindre sa main. Comme si j'avais envie de le tirer dans la direction que je prennai et qu'avait prise Anri. Je marchai et le contact rompu, nos mains ne se touchèrent plus, es-ce que j'eu un petit sentiment ? Je l'ignore, mais j'était un peu coquine sur ce coup la... Je m'en allai presque joyeusement dans les couloirs... C'est vrai que l'envie de me retourner pour voir sa tronche me tentai mais je résistai tant bien que mal... La cloche retenti, je tournai dans le couloir. Le peuple arriva. Je regardai à travers la porte vitré. Une petite foule était dans la cour, allant dehors pour faire du sport ou changé de salle pour une matière spécifique. Je marchai gaiement dans le couloir, je poussai la porte en PVC et sorti. Les quelques gens qui restaient me regardaient, soit d'un oeil ahuri, soit d'un oeil à vous dire : " Comment elle s'habille cette fille ?? " . Des murmures commencèrent, je restai silencieuse et traçais dans la bonne direction. Je continuai, mon parcourt du combattant du regard... Je montai des marches, tournai et retournai pour y arriver. Classe 3-D. Arrivant par derrière je me planquai derrière un mur et dit d'une voix sévère et un peu plus grave que la mienne:

- Bon vous rentre ou vous allez dormir ici !? Restez en classe jusqu’à mon retour.

Les élèves avancèrent en silence. Je résistai à l'envie de rire. Je marchais derrière tous le monde, faisant le moins de bruit possible pour qu'on se retourne et voient que je n'étais pas dans la queue. Je posai le pied sur le sol de la classe, tous les yeux étaient sur moi. J’entendis un :

- Lâchez moi les pestes dévergondées.

Et ne pus m’empêcher de rigoler, un son fort et très musical. Des murmures se firent entendre, ce qui me calmai un peu. Anri hurla à moitié pour me dire :

- Salut natsumii ! ça va ??

Je la regardai, normalement avec un soupçons de gaieté. Elle voulait joué le jeu du : "On se connait " et le " Tu es une fausse élève ". Pourquoi pas ... Je lui souris et fis un geste de Salut, puis je dis :

- Bonjour je suis Nastumi Yoh-Yue ! Je suis une nouvelle ! J’espère qu'on va bien s'entendre. Enfin pour vous ... Je pointai du doigt le trio de garce qui me regarder de leurs petits yeux trop maquillés. Je crois pas que je pourrai, j'aime pas les garces...

Des gens pouffèrent, d'autre firent des "Ohhh !", elles, elles devinrent en colère et sa rien qu'a leurs tronches sa se voyaient... Je m'approchai de Anri, l’enlaçai, comme si nous nous connaissions un peu depuis des années. Je lui répondit simplement par un oui oui sa va... Normal quoi... Une fille me toisait toujours pensant découvrir quelques choses de moi. La vampire qui avait vécu surement le plus longtemps entre tous, avait survécu aux chasses aux sorcières, aux deux guerres mondiales... Elle la regarda froidement et quand elle pensa parler, elle ne dit que :

- Et t'es de quel race ? Toi ! Parce que a part Succube... J'vois pas...

Elle me regarda de haut et je ris d'une voix plus clair douce qu'on ne pouvait l'imaginer...

[Je continue ou pas ? ...]

Anri me regarda puis elle s'approcha de moi et posa sa tête sur mon epaule, enfin j'eu une sensation comme. Elle me souffla à l'oreille :

- allez prof présentez-vous on a déjà perdu du temps de cours, vous allez avoir des ennuis...

Je lui fis une bise pour de faire comme si de rien n'était puis je m'assis sur la table la plus proche, ne faisant guère attention aux affaires qu'avait posé l'élève. je posai mon talon sur le rebord en recroquevillant mon genou puis regarda la scène de dispute. Anri-chan renvoya les élèves à leurs places et tranquillement j'attirai tous les regards vers moi. Ma tenue faisait fondre les cœurs des garçons de la classe. J'hochai la tête d'un air pensif puis quand je regardai a nouveau la petite élève débile qui me regardait de ses petits yeux je ne pu que rire. Moi succube, laisse moi rire. Je balancai ma jambe droite et posai mon menton sur mon genou, c'était vraiment ennuyeux d’être élève. Je sifflai un peu ce qui attiré les derniers regards sur moi. J'eu enfin toute l'attention sur moi. J'enlever mon pied du bureau et dit :

- Apprend petite imbécile que je suis une vampire. Comprend ainsi que je suis plus veille que toi. Tu dois avoir 17 ans et bien j'ai 209 ans de plus que toi... Bien je pense qu'on peut commencer le cour.

Elle ouvra un large bec et se la ferma comme le corbeau de la fontaine. Je lui sourris, montrant mes crocs accérées et me lechant la lève. En mode sadique ? Oui et à fond. Au temps en profiter.

[Putain de flemme de faire du rp... Fail essaye de répondre j'ai bien envie de t'avoir a mon cour d'histoire... Anri répond même si j'ai ecris avec de la flemme...]