D'où vient le physique du personnage ? : [Réponse ici]

Age (Entre 11 & 17 ans) : 15 ans
Sexe : fille (wesh)
Nationalité : japonaise
Type (Psychic, Element, Superhero, Supervicious, Light Creature, Dark Creature, Human) : Psychic
Caractéristique : télékinésie

Caractère (3 lignes complètes minimum) :
Yami. En japonais, obscurité, ténèbres. Pourquoi m'a-t-on appelée ainsi ? Spontanément, j'aurais répondu à n'importe qui avec un sourire ironique : "Mes parents étaient un peu étranges." Mais vous n'êtes pas n'importe qui, n'est-ce pas ?
Peut-être qu'à la naissance, j'avais l'air si déprimé que l'on a décidé de me donner le nom de la résidence des Enfers... Cependant, je ne suis pas déprimée, non ! Je vous l'accorde, j'ai toujours l'air un peu mélancolique. Cependant, je vous accorderai toujours un sourire, toujours une parole si je vous croise dans la rue. Je ne suis pas déprimée, non. Juste mélancolique...
S'il fallait un mot pour définir ma personnalité, oui, ce serait bien cela : mélancolique. Jamais en colère, mais jamais très joyeuse non plus. Toujours entre les deux, neutre. Le centre. C'est peut-être pour cela que je passe un peu inaperçue aux yeux des autres... Oui, si je décidais de rester assise sur une chaise sans rien dire dans un lieu grouillant de monde, je disparaîtrais aux yeux des autres. Pratique dans certains cas... Dur dans d'autres.
Cependant, si vous n'avez pas oublié que je suis là et que vous avez un service à me demander, je serai toujours là pour vous aider ! J'aime aider les autres, ça me donne le sentiment de rendre les gens heureux, et cela me suffit. Serais-je soumise ? Peut-être. Sûrement même, en diraient d'autres. Mais je ne me considère pas vraiment ainsi. J'accomplis les souhaits des autres par plaisir. Non pas par contrainte. Je ne suis pas déprimée, je vous dis. J'ai ma propre volonté, ma propre façon de penser. Je préfère simplement faire partie des hommes de l'ombre, et non pas exhiber ma pensée à tous. Dans les romans, les hommes de l'ombre ont toujours été ceux qui m'ont le plus fascinée. Ils oeuvrent en arrière-plan de la scène, personne ne les voit. Et pourtant, sans eux, les héros des histoires n'arriveraient jamais à leur fin. Je rêverais de pouvoir faire partie de ces gens qui ont le pouvoir de faire avancer le monde, et qui pourtant ne sont pas obligés d'aller sur le devant de la scène, d'être ébloui par les projecteurs, de devoir tromper leur personnalité pour plaire aux Grands... J'aimerais rester moi-même, tout en donnant un coup de pouce au monde qui m'entoure.
C'est peut-être pour cela qu'on m'a appelée Yami. Fille de l'ombre. Pourquoi pas ? On a tous ses rêves...

Physique (2 lignes complètes minimum) :
Vous pénétrez dans une chambre. La pièce est sombre, les murs recouverts de velours pourpre, emplissant l'air d'une atmosphère ouatée, ourlée de mystères. Au fond de la pièce, vous pouvez apercevoir un cadre. C'est un tableau, un portrait plus précisément. Le visage du personnage est plongé dans l'obscurité ambiante, vous ne pouvez donc pas voir ses traits. Vous vous approchez lentement, tentant de lever la chape de nuit qui dissimule le portrait.
Enfin, vous discernez quelque chose. Le buste de la personne. C'est une jeune fille, habillée d'une robe blanche simple. Le décolleté révèle sa peau de porcelaine, et met en valeur sa petite poitrine. La jeune fille a une main relevée au niveau de son cou, et vous pouvez détailler ses doigts longs et fins. À son cou est accrochée une petite médaille dorée, comme posée sur la peau juste pour parfaire cette vision déjà sublime.
Vous vous approchez encore. Vous vous tenez à présent juste devant le tableau, et vous voyez parfaitement la totalité de la peinture.
Le visage de la jeune fille est d'une beauté nostalgique. Ses longs cheveux blonds, semblables à des fils d'or, lui tombent en vagues dorées dans le dos, retenues par aucun ruban. Une partie de son visage, fin et sans défaut, est masquée par l'une de ses mèches de cheveux d'or. Ses grands yeux gris sont baissés, dans une attitude de soumission. Mais en voyant ce visage parfait, vous n'avez aucune envie de profiter de cette jeune fille. Son expression, si réelle, si triste, vous enveloppe d'une aura mélancolique, qui vous fait monter les larmes aux yeux. Cependant, vous vous retenez de pleurer. Cela attristerait plus encore la jeune fille...

Goûts (3 lignes complètes minimum) :
Ce que j'aime par-dessus tout, c'est lire. Vous l'aurez sûrement compris... Tous les livres qui me tombent sous la main sont bons à être dévorés. Je pourrais lire n'importe où, en n'importe quelle circonstance. Bon, vous avez compris que j'aime lire. Ce que j'aime d'autre ?
Rêver. Étrange activité, n'est-ce pas ? Mais si vous y réfléchissez bien, lire, rêver... Ce n'est pas si différent l'un de l'autre. Rêver me permet seulement d'aller plus loin dans l'histoire, d'imaginer ce qu'il se serait passé si...
J'aime également rêver de ma propre histoire. Celle-ci n'est pas écrite dans un livre. Elle s'écrit toute seule, petit à petit, dans le coeur et la tête de tous ceux qui me connaissent, qui m'ont déjà rencontrée, ou qui m'ont même seulement croisée. Je crois que c'est mon histoire préférée.

Histoire (5 lignes complètes minimum) /Facultatif/ :
Il y eut un bruit sec, et une tache rouge s'étala lentement sur ma joue. La claque était partie de je ne sais pas trop où.
Mon père se tenait debout devant moi, le visage dissimulé dans l'ombre, de manière à ce que je ne puisse pas voir son expression faciale. Mais je me doutais très bien de ce qui était affiché sur ses traits : de la haine, de la colère, du dégoût. Je n'avais pas besoin de le voir pour le savoir, il suffisait de goûter le sang à la saveur métallique qui se répandait dans ma bouche pour deviner à quoi pensait mon père en cet instant.
Involontairement, je gémis. Une larme perla du coin de mon oeil, s'ajoutant aux deux fleuves qui sillonnaient déjà mes joues.
Mon père se détourna de moi et sortit de la pièce sombre, me laissa sur le sol, pantelante de douleur. Avant de fermer la porte derrière lui, il se retourna une dernière fois pour cracher sur le sol. Puis il m'enferma définitivement dans les ténèbres.
Longtemps, je restai immobile dans la même position dans laquelle mon père m'avait laissée. Mon esprit était paralysé, comme anesthésié par la gifle que j'avais reçue.
Après ce qui aurait pu être une minute comme une heure, je tressaillis enfin. Je me redressai lentement, les yeux vides de toute expression, et me levai avec difficultés. Titubante, je me dirigeai à tâtons dans la direction présumée de mon lit, puis, lorsque je l'eus enfin atteint, me laissai tomber dessus, et enfouis mon visage dans mon oreiller. Je laissai les larmes couler, incapable de les retenir. Mon corps entier était secoué de sanglots silencieux. Mon coeur battait sourdement au rythme des souvenirs de cette terrible journée, menaçant de sortir de ma poitrine.

J'étais rentrée chez moi, un paquet de farine à la main. Dès que j'avais ouvert la porte d'entrée, j'avais senti quelque chose d'inhabituel. Inquiète, je lançai :
-Maman ?
Personne ne répondit. Sentant l'angoisse monter dans ma poitrine, je me précipitai vers la cuisine. La scène qui s'offrit sous mes yeux eut le même effet qu'un coup sur la tête. Je restai là, incapable de réfléchir.
Ma mère était étendue sur le sol, face contre terre. Ses longs cheveux blonds formaient une auréole désordonnée autour de sa tête, sa robe était froissée. Le corps de ma mère ne bougeait plus.
Enfin, semblant sortir de ma torpeur, je lâchai le paquet de farine que j'avais à la main et me précipitai à ses côtés. Je retournai avec difficultés le corps de ma mère, révélant son visage. Ses yeux étaient clos, et sa bouche légèrement entrouverte. Sentant un boule douloureuse se former dans ma gorge, je tâchai de garder mon calme. Je levai une main tremblante en direction de la gorge de la femme. Rien. Aucune veine ne palpitait. Je retirai aussitôt ma main, comme brûlée. Brûlée par la Mort qui avait emporté l'âme de ma mère. Je m'effondrai sur le corps inerte de ma mère, sentant les larmes couler sur mes joues, pénétrer ma bouche et envahir mes papilles de leur goût salé. Mon esprit était paralysé, je ne pouvais plus réfléchir. Seul retentissait le mot maman maman maman dans ma tête, sans s'arrêter.

Je n'entendis pas mon père rentrer. Il dit quelque chose que je ne compris pas, puis il déboula dans la cuisine. Lorsqu'il vit le corps immobile de sa femme, il cria et me rejoignit à son chevet. Mais au lieu de se lamenter comme moi, il m'attrapa brutalement par le bras et me força à le regarder. Surprise par tant de violence, je ne résistai pas. Je vis le visage de mon père, ravagé par les larmes, la tristesse et la colère mêlées. Il se mit à hurler comme un dément, mais ses paroles n'atteignaient pas mon cerveau, trop affecté par l'image du corps sans vie de ma mère qui occupait toute mon âme. Soudain, je compris ce que disait l'homme :
-...ta faute ! Tes maudits pouvoirs, ils ont condamné toute la famille ! Par ta faute, ma femme est morte ! À qui ce sera le tour après ? Hein ? Ce sera moi !
Il me traîna hors de la cuisine, tout en continuant à hurler et pleurer. Les paroles jaillissaient de lui comme une fontaine. Il déversait toute sa peine sur moi. Mais, paralysée, je ne pouvais que l'écouter, le chagrin abattant sur moi sa lourde chape.

J'ouvris les yeux. Hébétée, je restai quelques instants allongée, tentant de me rappeler ce qu'il s'était passé. Puis tout me retomba dessus : la mort de ma mère, la folie de mon père. Aussitôt, les larmes qui s'étaient taries avec le sommeil remontèrent dans mes yeux. Mais j'inspirai profondément et, retenant le sanglot qui menaçait d'éclater dans ma poitrine, me redressai.
Assise sur mon lit, les jambes pendant sur le bord du matelas, je tentai de faire le vide dans ma tête. Annihiler toute émotion, afin de faire le tri dans toutes mes pensées qui pour le moment s'entrechoquaient douloureusement dans mon esprit.
Je jetai un coup d'oeil vers la petite fenêtre de ma chambre. Dehors, le ciel avait revêtu son manteau sombre piqueté d'étoiles. J'avais dormi durant plusieurs heures. J'eus une pensée furtive pour mon père, qui ne s'était visiblement pas manifesté durant tout ce temps.
Mon regard dériva de nouveau vers l'obscurité de la chambre, retrouvant par la même occasion mes peines et les tentacules vicieuses de la douleur et du manque.
Ma mère avait toujours eu une faiblesse cardiaque. Elle avait déjà fait plusieurs attaques, et ma famille s'était préparée à un malheur comme celui qui avait eu raison de la femme. Ainsi, ils avaient tout fait pour qu'elle vive la plus heureuse possible, et avaient également mis en place un système de surveillance - il y avait toujours quelqu'un en sa proximité au cas où son coeur aurait des ratés.
Cependant, ma mère avait du mal à accepter qu'elle ne puisse avoir un instant à elle. Parfois, elle suppliait mon père - ou moi-même, car j'étais moi aussi chargée de veiller sur elle - de lui accorder quelques instants seule.
Le drame de la veille était survenu lors de l'un de ces instants. J'étais chargée de la surveiller, mais avec un sourire rassurant sur les lèvres, ma mère avait demandé gentiment à ce que j'aille lui acheter de la farine pour le gâteau qu'elle était en train de préparer. Attendrie, j'avais accepté malgré ma charge de surveillante. Et lorsque j'étais rentrée...
Je sentis la culpabilité m'étreindre le coeur. Je n'aurais jamais dû laisser ma mère seule. Je savais pourtant que c'était interdit. Mais je n'oublierais jamais ce sourire radieux qu'elle m'avait adressé lorsqu'elle m'avait demandé d'aller lui chercher de la farine. Un sourire de petit enfant à qui l'on vient d'offrir un cadeau. Un sourire auquel on ne peut dire "non". Je serrai les dents. Ce sourire avait mené ma mère à sa perte.
Mes pensées dérivèrent vers mon père. De toute la famille, il avait été le seul à ne jamais accepter que sa femme pouvait mourir d'un instant à l'autre. Il persistait à croire que son coeur se rétablirait un jour. La mort était un état inconcevable pour lui.
Cependant, lorsqu'il avait vu le corps de sa femme, sa première réaction n'avait pas été de s'effondrer sur elle, à mon instar. Il m'avait attrapé par le bras, m'accusant de la mort de ma mère. J'eus un haut-le-corps au souvenir de cet instant. Mon père avait raison. C'était moi qui avait laissé ma mère seule, alors que, si j'avais été à ses côtés, les premiers soins auraient pu lui être prodigués aussitôt. Les tentacules de douleur formèrent un étau autour de mon coeur. Ma respiration se fit hachée. Cependant, je me forçai à égrener un à un les événements et les émotions de la veille.
Mon père rejetait donc tout le tort sur moi. Très bien. Mais qu'avait-il dit exactement ? Il avait parlé de malédiction, de pouvoir. Je sursautai. Que venait faire ici le fait que j'étais une Psychic ? Puis, un souvenir furtif me caressa l'esprit. Je m'en saisis aussitôt.
Il y a quelques années, alors que j'avais dix ans, lors de la nuit de la Lune Rouge, j'avais, comme beaucoup de personnes, été dotée de pouvoirs. Beaucoup de familles avaient pris ce cadeau de la Lune avec philosophie, et avaient intégré la magie dans leur quotidien. Mais nombreux étaient ceux qui étaient effrayés par ces pouvoirs dont se retrouvaient soudain dotés des membres de leur famille. À l'époque, beaucoup de suicides, isolés ou collectifs, avaient été rapportés dans les médias. Mon père faisait partie de ces gens qui ne parvenaient pas à accepter l'existence de la magie. Sa peur s'était manifestée tout d'abord par un stress omniprésent et des réactions agressives à tout. Puis, mon père avait eu une période de dépression, dans laquelle il ne put plus travailler. Ce fut une époque difficile pour ma mère aussi car, malgré sa faiblesse cardiaque, elle devait s'occuper de tout ce que faisait d'habitude son mari, en plus de son propre travail personnel. Moi, j'étais trop petite pour comprendre l'ampleur de la souffrance de mes parents, mais je saisissais déjà que nous traversions une époque sombre.
Redirigeant mes pensées vers l'instant présent, je tentai de mettre en lien ce souvenir et la tragédie de la veille. Aucun point commun ne s'offrait sous mes yeux, si ce n'est que mon père était fou. Puis une idée dérangeant s'insinua dans mon esprit : si ma mère avait-elle également eu peur de mes pouvoirs ? Je frémis. Ma mère avait toujours été une femme plus discrète que mon père, n'exprimant pas - ou peu - ses sentiments, affichant toujours une façade au sourire inébranlable. Il était fort possible qu'elle ait eu la même peur panique de mon don que mon père...
À cette pensée, je sentis les larmes monter une nouvelle fois. Cependant, je me mordis les lèvres et me forçai à contenir mes émotions. J'inspirai profondément, une fois, deux fois, puis me levai, quittant mon ami le lit.
J'ouvris la porte de ma chambre et m'engageai dans le couloir. Je devais parler avec mon père, et je devais le faire tant que j'en avais encore le courage.
J'ignorais quelle heure il était. Sûrement aux alentours de minuit, d'après la couleur du ciel. Cependant, je doutais du fait que mon père dormît, tout comme moi. Arrivée devant la porte de sa chambre, je m'immobilisai quelques instants, le coeur battant. Je sentais encore le coup qu'il m'avait porté cette après-midi ; je devais à présent avoir un bel hématome d'un violet tirant sur le vert qui couronnait ma pommette. Cette douleur diffuse me rappelait que mon père n'était sûrement pas dans son état normal et que je devais me tenir prête à fuir d'un instant à l'autre.
J'inspirai un bon coup et abaissai la poignée de la porte qui s'ouvrit sans bruit.
La pièce était plongée dans l'obscurité, et après la lumière du couloir, je mis un certain temps avant de pouvoir distinguer quoi que ce soit. Je distinguai enfin quelque chose, une forme sombre au centre de la pièce, qui ne bougeait pas. Prudemment, je m'avançai et cherchai à tâtons l'interrupteur pour la lumière. Je murmurai :
-Papa, c'est moi...
Il n'y eut pas de réponse. Je trouvai enfin l'interrupteur et me retournai. Je poussai un cri de terreur en comprenant ce qu'était en vérité la forme au centre de la chambre.
Mon père avait mis fin à sa vie de manière précipitée. Une corde passée autour du cou, un tabouret posé sous la lampe, et le tour était joué. Je restai pétrifiée, collée contre le mur, la main toujours posée sur l'interrupteur. Je pensai un instant que c'était un cauchemar et éteignis la lumière, dans l'espoir que, lorsque je rallumerai, je verrai mon père dans son lit. Mais il n'en était rien, et la lampe éclaira tristement la scène macabre.
Je mis de longues minutes, des heures peut-être, à réaliser que j'étais devenue orpheline de père comme de mère en moins de vingt-quatre heures. Lorsque l'information atteignit enfin mon cerveau engourdi, le monde se mit soudain à tourner autour de moi, et je m'effondrai.

Je me tenais devant un imposant bâtiment, ma valise à la main et le coeur plombé. À partir d'aujourd'hui, ma vie à l'école Tsuruko pouvait commencer.



Pseudo habituel : Loulou (épique je sais 8D)
Age : 13 ans, bientôt 14 si la fin du monde m'épargne ! x)
Passions : les mangas, le Japon, le dessin, le piano, le chant, le... ok j'me tais
Comment as-tu découvert le forum ? : Vive le partenariat (with Emrys 8D)
Pourquoi t'es-tu inscrit(e) sur ce forum ? : Parce que je me faisais chier /PAN/ Et parce qu'une certaine personne me bassine les oreilles tous les jours de l'ambiance de la mort qui tue qu'il y a sur ce forum, donc j'ai fini par me décider à aller voir de moi-même. <.< >.>
Double-compte ? (Si oui, préciser le nom du premier compte) : Nope.
Code de confirmation de lecture du règlement : Validé by Ryu
Autres : Pardonnez-moi si la prez est pas originale du tout, je me dis que je vais me tenir aux bonnes vieilles fiches de prez habituelles pour le moment ! 8D

Bienvenue ! Je suis la première, quel exploit !
Ta présentation perso m'a bien fait rire. Qu'est-ce que ça va donner pour le reste alors !
Bon courage pour la suite de ta fiche.

Wouw, c'était rapide ! ^w^
Bah déjà, merci beaucoup !
Mais j'ai décidé de faire un perso un peu neutre et soumis, pour une fois (si tu voyais mes autres fiches, c'est que des tueuses blasées 8D). J'espère que je t'ai pas déçue !

Bienvenue sur le forum, ma'm'zelle la soumise.
Encore une Psychic ! On commence à apparaître, enfin...
La fiche est vraiment pas mal sauf que ça fais mal aux yeux (de mon avis) d'avoir tout mi en gras. M'enfin, le contenu est bon, le style j'aime bien !

Au plaisir de rp avec toi, un d'ces jours.

L'hyperactif ✘

Ah, merci ! (pourquoi ce smiley ? je ne sais pas)
Pour la mise en page, j'ai pris le codage tel qu'il était, mais c'est sûr que ça arrache un peu l'écriture en gras... ._.
Je vais changer !

Mon amie ! Bienvenue :')

Mon amie ! Merci :')

Bienvenue, très chère^^
Je te valide le code^^

Yami <3 Bienvenue sur le forum <3

Meurchi les gens !
:messagedelamortquitue:

Bienvenue sur Tsuruko, merci pour ton inscription : )
Par "contrôle des objets par la pensée" j'imagine que tu parles bien de télékinésie ? : 3
Sinon bon courage pour terminer l'histoire ~ Au passage, très bel avatar o/

Merci pour l'accueil et pour la télékinésie, j'oublie toujours le mot exact. x')
Pour mon histoire, à vrai dire je me suis pas vraiment penchée dessus, vous m'excuserez donc du piètre niveau. o/ C'est les vacances, faut pas trop m'en demander non plus... :3 :hap:
PS : t'as vu la fille du vava est tellement belle o/ C'est An-Yue qui m'a fait le graph~

Merci pour l'accueil, les compliments et les conseiiiiiils (je sais pas à combien de remerciements j'en suis mais je pense que je vais bientôt rentrer dans le livre des Guinness World Records o/) ! ^w^
Je vais essayer de développer un peu plus l'histoire et le physique, ô chef suprême /PAN/
Je trouverai sûrement l'inspiration dans la poésie de... euh... de mon pot à crayons posé à côté de mon écran d'ordinateur ! <.<'
Hum. Bref. Quand il s'agit d'écrire de la merde je fais un pavé, mais s'il faut faire la prez y a plus personne ! >.<'

Bienvenue! J'espère que tu te plairas sur ce forum!

Merci ! Je sens que je vais bien m'amuser sur ce fow' ! ^w^

EDIT : j'ai fini ma prez o/ Enfin je crois, à vous de décider si ça suffit ou non ^^

Bienvenue à toi, je te remercie de ton inscription ~
Tout est ok, je te valide donc ^w^
Dortoir #21, bon jeu à toi ~

Merci ! :3

J'aime le paradoxe de l'apparence illuminée d'une fille dont le nom est synonyme d'obscurité ^w^
Bienvenue !