C'est oficielle, je détestes les cours. J'avais passé la journée plongée dans des livres ennueyux, des calculs trop simples et des paroles de philosophes sans logique. À midi, la nourriture proposé me donnait envie de vomir, ne prenant qu'un tas de pommes et quelques cannettes de soda, j'avais à nouveau fini sur le toit pour manger, cela devenait une vraie habitude. Je me rappelles aussi avoir fait pleurer une gamine de quinze balais pas grande parce que je lui suis rentrer dedans, pas ma faute si je l'ai pas vue. À la pause, j'ai même pas réussi à avoir un peu de calme vu qu'il a fallu que je remette deux gars très chiant à leur places. Ils s'en prennaient à la gamine que j'avais percuter plus tôt, j'allais pas les laisser faire. Quand on regarde bien, je suis toujours toute seule, je vais pas m'en plaindre vu que la seule gogole avec qui j'ai parlé, c'était la boule de poil sur le toit et apparement, elle me porte pas dans son cœur. Rien qu'en pensant à ça, j'ai réussi à me faire virer de cours parce que je me suis souvenue de ce qu'elle a dit et j'ai exploser de rire.

La fin de la journée est enfin arrivé mais il faisait tellement chaud dehors (d'après moi alors que dehors il faisait mois un) que j'ai pas voulu aller sur le toit, du coup, j'ai fini dans le salon. Quand je me suis décider à y aller, j'ai embarquer des livres, mon téléphone, une canette et un paquet de bonbon au piment. Quand j'ai ouvert la porte, personne. Faut dire qu'il était environ une heure du mat' et en général à cette heure-ci tout le monde ets censé dormir mais en tant que démone qui se respecte, j'ai besoins de seulement une ou deux heures de sommeils pour avoir a pêche, alors rester debout jusqu'à cinq heures du mat', c'est un vrai jeu d'enfant pour moi. Pour pas mentir, j'ai fini par m'endormir. Au début, je dois avoir lu une bonne dizaine de livre et avoir bu ma cannette en deux gorgées mais à force de me retrouver avachis sur le canapé de velours rouge, je me suis endormie profondémment? Je m'étais endormie sur le dos, un bras sur les yeux et l'autre sur mon livre qui montait et descendait au rythme de ma respiration. La lumière orangée dans la pièce était agréable, impossible de ne pas bien dormir ici alors que ma chambre était si froide à mes yeux. J'éspérais bien pouvoir dormir ainsi pendant au moins trois heures.

J'y crois pas. Je suis pas capable de dormir sans me casser la figure. Honnêtement, ça me déséspère. En me relevant, j'aurais du me méfier de la table en bois à côté de laquelle je m'étais endormis vu que je me cogna la tête dessus. Enfin à genoux devant la table, j'ai eu une sacrée surprise en voyant la loulouve de la dernière fois. Mais rien qu'à ces excuses, j'ai encore exploser de rire, que dire de ses excuses un peu précipité alors qu'elle savait même pas que c'était moi. Je rigola aux éclats avant de me calmer et de lui dire doucement.

- T'as pas besoin de t'excuser matou, j'ai supposé que t'étais pas du genre voleuse ou contre la loi alors pas besoin de m'inquité quand tu prends mon tel'

À mon avis, elle ne devais pas s'attendre à me voir ici. Je m'étais assise sur le canapé, j'avais ouvert mon téléphone et par la suite, j'avais pris une photo d'elle sans vraiment lui demander sir elle voulait bien. Et voilà, photo enregistré ! Mais depuis le jour où elle s'était pêter la honte devant moi, je n'avais pas eu le temps de lui demander son prénom, ce que je ne manqua pas de faire.

- Au faite matou, c'est quoi ton ptit' nom ?

Dans tout les cas, si elle me donnait son nom, je pourrais lui trouver un nouveau surnom bien que matou risque de lui rester pendant un bail.
Je lui souriais toujours avant de me lever, doucement pour pas lui faire peur. Je m'approcha d'elle et lui tapota amicalement la tête puis je m'éloigna et attrapa ma pile de livre que je rangea dans les étagères sauf un que je déposa entre les oreilles du matou avant d'aller m'asseoir avec une canette encore fraîche, j'invita le matou à s'installer, en laissant une large place à côté de moi. Je la regarda à nouveau, c'était déjà la tête de détéré qu'elle faisait. Mon collier se mille a briller, seul les démons et ceux avec des gênes animaux pouvaient voir la faible lumière de mon pendentif. Je préféra le loger entre ma poirtine et soupirer légèrement.

J'ai manqué d'exploser de rire quand elle s'est limite inclinée pour s'excuser de notre première rencontre. Je voyais pas pourquoi, je m'étais bien amuser moi. Enfin bon, je devais pas me fiche d'elle sinon elle allait encore hérissé les poils. Alors matou s'appelle Reina. Je passa ma main à l'arrière de ma tête et lui dis, les yeux fermer.


Il faut dire que j'avais eu tellement de surnom qu'à force, je disais au personne qui me demandait mon prénom de p'aller comme elles le voulaient. Je m'étais vraiment fait mal en tombant. J'avais une bosse sur la tête. Décidément, c'était vraiment pas mon jour. Entre les cours qui avaient, comme toujours, été d'un ennuie énorme, le problème avec les deux gars, le repas pathétique, je confirmes, j'étais dans un jour de malchance. Pour couronner le tout, j'avais des pultions. Il faut dire que à force de me retenir de me transformer, mon corps à du mal à le supporter, mais rien à faire, j'en ai pas envie. J'attrapa ma canette et bu une grande gorgée avant de prendre un livre. C'était un livre sur les plus grandes phrases des philosophes. Je commença à le lire quand je remarqua de matou était toujours là. Je ne releva pas la tête et lui dit.

Je me replongea dans mon livre, buvant ma canette au même passage, quand une odeur désagrable me passa sous le nez. Une odeur de chien mouillé. Je me leva et sans hésitation, je m'approcha de Reina et la sentie légèrement avant de reculer.


En étant démone, cette odeur était vraiment désagrable. Je ne disais pas que Reina sentait mauvais en général mais juste que, vu que s'était une louve ou je sais pas quoi, elle avait cette odeur désagrable.