Pensionnat Tsuruko
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal

Partagez | 
 

 Le Jeu de la Mort... Ou le Jeu tout court... ? [PV : Thuthur ]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Ange Lucifer

Ange Lucifer

Féminin Sagittaire Cochon
Messages : 46
Date d'inscription : 16/12/2012
Age : 28
Caractéristique : Hm.. ?

Le Jeu de la Mort... Ou le Jeu tout court... ? [PV : Thuthur ] Empty
MessageSujet: Le Jeu de la Mort... Ou le Jeu tout court... ? [PV : Thuthur ]   Le Jeu de la Mort... Ou le Jeu tout court... ? [PV : Thuthur ] Icon_minitimeSam 30 Mar - 11:54

Après mon excursion au Centre Commercial, il commençait à se faire tard. J'en sortis alors, et me dirigeai sans même le savoir dans une rue qui se bondait petit à petit de monde. Je penchai ma tête sur le côté devant ce phénomène, et souris froidement. Glaciale, Calme, Courtoise. Je dégageai tout cela, en plus d'une aura assassine pour ceux qui savaient lire ce genre de choses. Et ce fut dans cet état-là que je me mêlais à la foule. Je regardais autour de moi, guettant le moindre geste, le moindre regard, le moindre comportement, la moindre parole, suspects. J'étais partie du Centre Commercial précisément parce qu'on m'avait dit que le Boss voulait me parler, et même si je m'en fichais, je ne pouvais pas me dérober à ça. Vu que... Vu qu'il n'y avait que le Boss que je respectais entièrement, que le Boss qui avait autorité sur moi. Et si ce crétin m'avait tendu un piège... ? Possibilité à envisager, d'où ma méfiance qui tournait au galop dans ma conscience.

Un bruit métallique me sortit de ma réfléxion. Dans un réflexe, je passai nonchalamment ma main dans mes cheveux, de façon à ce que mon bras protège mon visage. Je laissai tomber mon bras quelques secondes après. Comme si j'allais devenir parano, je jetais un coup d'oeil circulaire autour de moi. Le Boss avait coutume de me parler en se mêlant à des foules énormes. Or, celle-ci était... énorme, certes, mais... de trop. Alors, alors... ? Que faire ? Sans attendre, je pressai le pas, et posai mes yeux froids devant moi, un sourire calme aux lèvres. Une psycopathe tentait de diviser la folle. J'étais la psycopathe. Je voulais diviser la foule pour voir combien de personnes étaient susceptibles de m'espionner. Je m'arrêtais devant la vitrine d'un magasin ostentatoire qui ne m'intéressait nullement. Et je vis une personne qui s'arrêtait un peu avant là où j'étais figée.

Un bruit métallique me fit tourner la tête. Revolver. Homme à côté. Dix mètres nous sépraient. Sans réfléchir, je pressai davantage le pas, tout en jetant des coups d'oeils en arrière, comme une fille apeurée. Je n'étais pas spécialement apeurée, mais... Je savais reconnaître ceux qui étaient potentiellement plus fort que moi. A un mouvement significatif du coude de cet homme, je rentrais dans une cave. Mon air glacial prit le dessus. La dame qui s'occupait de l'endroit s'avança vers moi en me demandant ce que je voulais. Calepin et stylo à la main, je lui répondis en écrivant sur mon blocnote. " J'aimerais juste avoir ceci ". Je pointai de mon doigt une bouteille de mon doigt en glissant un billet, qui me semblait approprié à ce que je demandais, dans la main de la serveuse. Ceci fait, celle-ci me regarda quelque peu étonnée. Puis, elle prit ce que je demandais, me le tendit, j'hochais froidement ma tête en signe de remerciement et sortis immédiatement de la cave.

De retour dans l'avenue bondée, je notai qu'il y avait deux bruits métalliques. Et en me retournant, je vis que l'homme qui me suivait était... la police. Un sourire glacial étira mes lèvres. Tiens donc, ils allaient m'accuser de meurtres illégaux... ? Les pauvres, s'ils savaient pour qui je faisais tout ça... J'ouvris la bouteille, sans me soucier du fait qu'un policier avait soit décidé de me prendre en filature, soit il avait quelqu'un d'autre en ligne de mire. J'haussai des épaules. Cela n'avait que peu d'importance. Je laissai mon aura de fils m'entourer pour parer une éventuelle attaque. Puis, le policier fut secondé par trois de ses collègues. Et là, la foule s'écarta à leur passage. Quand je compris que c'était moi qu'ils voulaient, je me mis à courir. Quite à les tuer, autant le faire dans un endroit approprié et moins peuplé. Eux aussi se mirent à courir en conséquence. Certains voulurent me bloquer le passage, mais ils se retrouvèrent avec un shuriken dans la gorge qui revint dans ma main. Comme si j'avais besoin de me faire prendre par des poulets...

Au fur et à mesure que j'avançais, il y avait moins de monde, mais une impasse. Un revolver ouvrit le feu. Il fallait que je leur demande pourquoi ils se baladaient avec un revolver, ces flics... Avant que ma pensée se termine, je fus projetée sur le côté, en disparaissant de leur vue, non sans lancer un bruit de vitres brisées. J'ouvris les yeux. Oh la poisse. J'étais dans un bowling, alors que plusieurs personnes, une dizaine, semblaient fêter un anniversaire ou une bêtise du genre. Je fermais aussitôt les yeux. Les policiers arrivèrent et se penchèrent vers moi.

- Idiot ! Tu l'as tuée ! Alors qu'on devait l'amener dans... cet endroit-là ! Un gros silence s'installa, et la même personne regardait autour d'elle la fête qui avait ralentit, mais qui battait toujours son plein. On y va, tant pis..

Et ils s'en allèrent. Moi, j'hallucinais. Normalement, j'aurais dû subir une batterie d'examens pour confirmer ma mort, pour... Et là... Ils me laissaient ? C'était bien la première fois que cela se passait ainsi. Je me relevais, l'air de rien, et regardais autour de moi. D'un oeil glacial, je considérais les divers.. Hm... " Lignes-de-faux-bois-qui-ne-servaient-à-rien-à-part-à-lancer-des-boules-dans-tous-les-sens ". Je me dirigeais vers l'accueil, en m'excusant des dégâts et en leur dédomageant comme je le pouvais. Et que se passa-t-il alors ? Je vis Fleur, une des disciples de mon Boss. Elle possédait une chevelure bleutée, comme la mienne, coiffée comme la mienne, et en me voyant, se précipita vers moi en hurlant :

- Angynou !... Quelle surprise ! Tu voulais ta revanche ?

Elle m'adressa un grand sourire. Je plissai mes yeux tueurs. Vive la discrétion... Elle me présenta, paya, et fis je-ne-sais quoi avec mes chaussures avant de leur répondre à nouveau que " non, elle n'acceptera pas de toutes façons, ce n'est pas grave ", puis, m'entraîna vers ces... Lignes. Prenant une boule entre ses doigts, elle lança. Un peu trop fort, car elle bascula sur moi, et je tombais sur un jeune homme qui tomba à son tour, entraînant plusieurs personnes dans la chute domino. Confuse, Fleur se releva en offrant ses plus plates excuses à tous ceux qui étaient tombés. Quant à moi, je riais doucement, en la présence de Fleur, ma froideur tombait tout naturellement.
Après tout, c'était bien ma soeur jumelle.

En me relevant, à côté de Fleur, il était presque évident que nous soyons jumelles. Je regardais la bouteille que je tenais à la main, en prit une gorgée et la tendit à Fleur.

- Allez, je vais tenter de faire un strike sans autant de dégâts que toi, Fleurinou.

Je pris une boule entre mes doigts, et la lançai tout naturellement, quoique avec suffisament de force. Alors que la boule faisait une courbe vers les rivières-de-métal, je fis un léger mouvement des doigts imperceptible et la boule refit une courbe en se dirigeant de telle façons vers les quilles que j'effectuai à mon tour un strike. Triomphante, je me retournais vers ma soeur, en prenant la bouteille de ses mains un peu trop rapidement, car j'en versais un peu sur mon voisin. Du vin. Ma froideur revint sur mes traits et je me figeai, mais à l'entente de mon prénom par Fleur, je me repris, sortit un mouchoir en lui tendant un mouchoir de soie.

- Veuillez m'excuser de ce désagrément...

Ma voix, mon soprano suraigü, chantant, avait quelques intonnations cristallines. Ma soeur s'approcha de moi, s'excusa de plus belle, me prit la bouteille des mains, lentement, avec un clin d'oeil. Et je n'arrivais pas à bouger de là où j'étais.

H.R.P : Je suis vraiment désolée du retard :'( Promis, je tâcherais d'être plus rapide la prochaine fois ToT En espérant que ça te plaira, Thuthur ^w^ C'était censé faire le triple de lignes, mais je me suis rendue compte que... ça ne collait pas uU Je te faisais bouger, hors, je n'en ai pas le droit ^^' A la prochaine réponse, j'atteindrai les 150 lignes, peut-être <3
Revenir en haut Aller en bas
Arthur Kirkland

Arthur Kirkland

Féminin Lion Buffle
Messages : 203
Date d'inscription : 06/03/2012
Age : 26
Caractéristique : Cyborg

Le Jeu de la Mort... Ou le Jeu tout court... ? [PV : Thuthur ] Empty
MessageSujet: Re: Le Jeu de la Mort... Ou le Jeu tout court... ? [PV : Thuthur ]   Le Jeu de la Mort... Ou le Jeu tout court... ? [PV : Thuthur ] Icon_minitimeDim 31 Mar - 16:55

Il s'agissait d'une journée parfaitement banale pour Arthur, banale dans le sens où du moment où il s'était levé au moment où il voulut sortir du pensionnat, absolument rien d'anormal n'était venu croiser sa route. Absolument personne non plus d'ailleurs. La vague idée qu'on le fuyait peut-être lui était bien venue, mais au pire, il en était plutôt satisfait étant donné qu'il n'aimait pas spécialement qu'on lui parle. Et donc, il s'était levé, comme d'habitude aux alentours de neuf heures du matin. Il n'était pas un gros dormeur... Après tout, il ne nécessitait plus vraiment du sommeil. Mais il aimait conserver des habitudes humaines normales, pour ne pas éveiller les soupçons d'abord, mais aussi pour se convaincre lui-même de son humanité. Et puis, dormir, ça fait refroidir les circuits, ça a donc ses avantages, surtout pour lui qui avait l'habitude de s'échauffer très vite. Bref, il avait ouvert les yeux sur le plafond blanc uni de sa chambre et s'était laissé rouler depuis le lit sur la moquette, jusqu'à arriver devant son ordinateur déjà allumé. Là, il avait repris ses activités de la veille, je cite des recherches sur le Japon - puisque c'est là qu'il avait fini. Il avait surfé tranquillement jusqu'aux alentours de treize heures où, étrangement, l'ennui le surprit.

C'était pour ainsi dire complètement anormal pour lui de se lasser de ses technologies, mais allez savoir pourquoi, voir tous ces articles clamant la beauté du Japon l'avait poussé à vouloir voir ça lui-même. Sans doute était-ce ses pulsions artistiques qui en étaient responsables. Donc il sortit de sa chambre, pour la première fois depuis deux mois une petite semaine (après tout il n'avait pas vraiment besoin de manger) après s'être changé. Il aurait eu l'air sale si il avait eu les mêmes vêtements depuis tout ce temps, même en sachant qu'il ne transpirait pas et que l'eau de la douche le ferait rouiller. Il avait un vieux jean troué et trop grand et un tee shirt affichant quelque slogan geek dans le genre "J'ai la flemme de t'aggro, viens me MP si t'es intéressée"... Enfin bref. Il sortit de sa chambre qu'il avait l'habitude de laisser dans le noir et fut ébloui par la luminosité éblouissante. Il lui fallut alors du temps pour descendre de l'étage et sortir du bâtiment, et aussi de retrouver le portail d'entrée puisque avec le temps il avait complètement oublié où est-ce qu'il se trouvait, et il fut dehors.

Au final, il se retrouva dans la rue, dans une foule de monde, avec un mal de crâne terrible. Il était trop tard pour trouver un moyen de contempler la beauté du Japon, il était complètement perdu, et n'avait aucune idée de la direction à prendre pour aller au pensionnat. En plus de ça, il avait essayé de se frayer un chemin dans la foule, forçant à coups d'épaules, et s'était fait projeté à terre. Résultat, il s'était assis sur son GPS, complètement hors d'usage, et manquant de peu de se fait piétiner par tous ces humains irresponsables. Il était tard, les gens sortaient de bureau et forcément, la population se faisait croissante. Arthur trouva refuge dans une petite ruelle après avoir tenté de se cacher sans succès dans les rayons des magasins. A croire que c'était les soldes car même caché dans les rayons sous-vêtements féminins, il avait peine à respirer tant la foule était nombreuse. Mais dans cette ruelle-là, il put enfin respirer. C'était un impasse, d'un côté un bar douteux et deux l'autre, une sorte d'orgie multicolore qui affichait en néon "BOWLING". D'ailleurs, les lettres "W" et "L" avait cessé de fonctionner, remplaçant le nom de l'établissement par une onomatopée douteuse.

Pour rien au monde Arthur ne serait entré là dedans. Mais d'une part il détestait l'extérieur et la vue de la longue rue qui s'étendait à ses pieds lui donnait des vertiges; et d'autre part le bar d'à côté puait la vermine à six mètres. C'est donc à regrets qu'il entra dans le Bowling bondé de peuple, et qu'il se fraya à grande peine un chemin vers le gérant. Là, il sortit de son sac en bandoulière une bourse pleine qu'il avait trouvé sur le chemin et qu'il avait planifié de dépenser sans regrets jusqu'au dernier centime, tant pis si c'était malhonnête. Il abandonna douloureusement ses chaussures de punk pour les inconfortables chaussures de bowling. Il se fit une première partie, mais il faut avouer qu'en solo, ce n'était pas très amusant. En plus, il n'était pas le genre de personne douée en sport, et son seul avantage ici étaient ses muscles en acier. Et il n'était pas vraiment le genre à s'en vanter. Régulièrement, il jetait un coup d’œil dehors pour vérifier si la population ne se dispersait pas, mais c'était peine perdue pour l'heure.

Rapidement, l'ennui et la nostalgie de sa chambre, son ordinateur et sa solitude se fit sentir. Il traina alors dans l'autre partie du bowling, celle réservée aux jeux d'arcades et à la beuverie. Il regarda avec pitié un type hurler de joie avec quatre potes pour avoir fait le meilleur score. Un peu plus loin, une femme semblait réprimander un pauvre homme qui avait visiblement trop bu et qui était affalé sur un fauteuil, le regard vide. Le barman lui même semblait un peu saoul, et le bruit des machines, ainsi que la non aération de la salle participaient à l'ambiance glauque et alcoolisée de l'ensemble. Juste alors que Arthur voulait repartir se faire une partie de Bowling car il n'avait rien à faire là, un type ivre le prit par le bras et lui dit d'une voix molle et tremblante:

"J'vais t'faire boirr' t'genre... Coincé là~ T'fais trop tâche !"

Il avait un rire gras désagréable, mais le manque de self-contrôle apparent au fond de son œil poussa Arthur à ne pas le contredire. Il finit appuyé sur le bar, un verre de Whisky dans la main. Sous l'insistance de l'inconnu, il le but. Bien sûr, ça n'avait aucun gout pour lui, c'était comme boire de l'eau... Sauf que l'eau, tout comme l'alcool, ça avait la méchante habitude de perturber les circuits. Mais il ne s'en rendit pas compte à temps, et ce ne fut que de nombreux verres plus loin qu'il eut les sens troublés et de la difficulté à garder son équilibre. Son cerveau avait aussi du mal à fonctionner correctement. A le voir, on aurait cru à n'importe quel ivrogne, mais bien sûr c'était au delà de ça. Arthur n'était pas humain après tout. Et il était au bord du cours circuit. D'ailleurs, le barman l'avait plus ou moins remarqué et sous la réclamation pressante de plusieurs joueurs, le pauvre cyborg fut éjecté de nouveau dans la partie bowling.

Pendant son absence, il avait du se passer des choses, des murmures vagues mentionnaient une vitre cassée et un meurtre, mais c'était bizarre. Arthur décrocha, qu'est-ce que ça pouvait lui faire de toute façon ? C'était largement plus important de survivre lui-même là. Il marcha du plus droit qu'il put vers la seule piste de libre, qui se trouvait à côté de drôles de personnes avec des cheveux bleus. Sur le coup, il se demanda si il ne s'agissait pas d'une illusion due à l'ivresse, jusqu'à ce qu'il se fasse entrainer dans une chute de dominos humains alors qu'il tentait tant bien que mal de rejoindre la piste en marchant de travers. Il ne comprit pas trop sur le coup, mais il se releva en s'appuyant sur des gens, et il finit par rejoindre la piste. Bon. Comment fallait-il faire pour relancer une partie ? Il resta immobile, un peu sonné, ayant du mal à s'éclaircir les idées.

Un instant plus tard, il se trouva trempé dans un liquide rougeâtre. C'était un peu flou pour lui, mais il semblerait qu'une des filles aux cheveux bleus lui avait jeté du vin dessus. Nous avions donc d'une part une sorte de schtroumpf ninja, et de l'autre un cyborg rouillé au whisky et, accessoirement, au vin. Autant dire qu'il empestait l'alcool et qu'il semblait loin d'être un personnage fiable. Mais le schtroumpf lui tendit plutôt un bout de tissu.

"Veuillez m'excuser de ce désagrément..." c'est ce qu'elle dit. Même si Arthur entendit plutôt "Vllez. escuus dce desgemn" à travers son cerveau quelque peu détraqué.

Mais enfin il comprit qu'elle s'excusait, alors il prit le tissu et tenta de lui sourire, même si il doutait un peu de l'effet produit.

"Ce n'est rien" répondit-il, ou du moins tenta-t-il de répondre.

Le second schtroumpf passa, et tout ce qu'Arthur remarqua c'est qu'il embarqua la bouteille. C'est dommage, il en aurait bien prit une gorgée. Donc il tenta de s'essuyer le tee-shirt, même alors qu'il voyait double (ou triple, allez savoir) et même alors que chacun de ses gestes lui demandait un effort de concentration surhumain. Finalement, il abandonna et rendit à la demoiselle (car il lui semblait que le schtroumpf était une femme) son mouchoir. Et puis, comme il semblait qu'elle attendait quelque chose, il lui demanda d'une voix étouffée:

"Comment qu'on lance une partie ?"

Sa tête lui tournait et il dut d'appuyer sur le distributeur de boules de bowling, sauf que la boule tomba du socle, et lui s'affala par terre d'un air le plus misérable du monde.

Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
 

Le Jeu de la Mort... Ou le Jeu tout court... ? [PV : Thuthur ]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 

 Sujets similaires

-
» Tout feu, tout flamme [Libre]
» Aller on se dit tout ;)
» Avant tout !
» Tout pour oublier
» Un petit Rp de rien du tout...
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Pensionnat Tsuruko :: Extérieur du pensionnat :: → Ville :: Bowling-