Petite visite non guidé {libre

Invité

Depuis que je suis dans se pensionnat, j'ai fais deux bonnes rencontres surprenante. Aoi, une humaine qui est fan des armes, et Sally une télépathe. Sally est ma colocataire de chambre et Aoi ma première rencontre qui m'a indiquer le dortoir. A qui le tour? Pour le moment je l'ignore, je me contente de me balader dans les couloirs. Mon bras en ferraille est toujours cacher par ce bangade, mais mon oeil rouge mécanique, je ne le cache plus. Aoi m'a dit que je ne suis pas la seule à ne pas être normale... Pensive, je bouscule quelqu'un par accident. Je me retourne vers la personne levant ma main normal en lui disant.

-Pardon, manque d'attention... Désolé

Invité

Belles rencontres, rencontres sans importance, mauvaises rencontres, celles que tu oublieras et celles qui resteront à jamais gravées de ton coeur... Qu'importe, car avec toi, ces moments précieux que font les rencontres, tu t'arrangeais toujours pour les terminers en tristes départs... Accidents, meurtres, lacitudes ou tout simplement oublis, ton palmarès laissait choix à un large éventail de séparations... Toutes ces personnes perdues, oubliées... En y réfléchissant bien, tu n'avais jamais accordé qu'une grande adoration, ou ne serait-ce qu'une simple amitié viennent s'installer dans ton coeur si froid... C'était sûrement là ce qui faisait ta plus grande faiblesse...
Nanako...

Par cette journée de pluie tu t'étais levée de ton lit, avais enfilé ton uniforme puis sans approfondir plus que ça ta toilette matinale, tu étais sortie de ta petite chambre, laissant seule Naomi encore endormit et roulé en boule dans son lit. Ton avis n'avait pas changé vis à vis de la jeune fille, tu la trouvais toujours plus faible que toi, et c'était un sentiment de supériorité qui venait s'installer au fond de ton être lorsque tu l'appercevais aux coins des couloirs, discutant avec ses connaissances...

Mais toi, Nanako, à part Naomi, tu ne connaissais personne... C'était affligeant... Toi qui d'habitude, était si forte... Toi qui, d'habitude, faisait ta lois, te considérait comme un être supérieur aux autres... Toi qui, d'habitude, trouvait ta liberté au fond d'un gouffre noir et profond comme la solitude...
Tu trouvais à présent le monde bien ennuyeux...

Maintenant, tu te promenais dans les longs couloirs du pensionnat... Tu tournais parfois, à d'autres moment tu continuais tout droit... De temps à autre, tu repassais par le même chemin... Etait-ce là ton seul moyen de divertissement ?... Tu repenssais à tous ces moment juissifs vécus dans le monde extérieur... Ta vraie vie se trouvait là-bas, en dehors de cette pension... La plus grosse erreur de ta vie fut sans doute de pênétrer l'enceinte de ce bâtiment...

Tout à coup, tu te retrouvas étalée au sol... Ta chute t'avait arraché le fil pensif qui te menait tout droit à un tournant, endroit d'où était sortie la jeune fille, qui te tendait maintenant sa main...

"Pardon, manque d'attention... Désolée."

Furieuse de t'être faite bousculée par quelqu'un, tu attrapas fermement le début de son bras et te relevas. Une fois remis sur pieds, tu ne lâcha pas son membre... Tu l'observas un instant, avant de lui hurler dessus :

"P*TAIN ! FAIS GAFFE QUAND TU MARCHES ! T'AS VU CE QUE T'AS..."

Tu stoppa ta phrase et ton élans et dévisageant son oeil... Il n'était pas ordinaire cet oeil... Rouge, d'une intensité différente de l'autre... Le petit rire moqueur aux lèvres, tu lâchas sêchement son bras, et lui dis amusée :

"Je vois... Tu es donc bien plus effrayante que la moyenne... Vas, je te pardonne !"

De quel droit lui parlais-tu ainsi, Nanako ?... Quand tu avais apperçus son oeil rouge et mécanique, tu avais senti quelque chose... Tu ne voyais pas quelqu'un de faible comme tu considérais Naomi... Peut-être que cette personne, comme toi, possédait... Cette force de méchanceté...

"Bon, tu m'ais redevable, maintenant ! Fait vite quelque chose pour moi, sinon ma liste de redevances en ma faveur va encore s'alongée..."

Mais peut-être que tu te trompais.

Invité

Elle se relève avec l'aide de ma main. Elle a l'air de mauvais poil dit donc... Elle ne veut pas lacher mon bras.

"P*TAIN ! FAIS GAFFE QUAND TU MARCHES ! T'AS VU CE QUE T'AS..."

Elle ne finit pas ça phrase à la vue de mon oeil. Ben quoi? On a peur maintenant? J'espère pas... Mon oeil ne tire pas des laser, enfin je crois.

"Je vois... Tu es donc bien plus effrayante que la moyenne... Vas, je te pardonne !"

Je lache un léger rire ironique.

-Trop aimable...

"Bon, tu m'ais redevable, maintenant ! Fait vite quelque chose pour moi, sinon ma liste de redevances en ma faveur va encore s'alongée..."

J'hausse les sourcils. Quel étrange personne j'ai devant moi... Et dire qu'Aoi ma sertifié que se pensionnat est agréable. Faut croire que non. Les méchants son partout dans se monde. Je sors mon bras libre de ma poche. Malgré le bandage, on peu voir que se bras est complètement mécanique... Je prends son bras et le serre légèrement pour au final le lever. Bon mon bras est libéré. Maintenant essayont de discuté.

-Quelque chose...

Je n'ai pas encore laché son bras, qui si sa continue, ne va pas tardé à viré au violet si je continue à serrer. Bon calme toi... Je sais que tu déteste tout être vivant m'éprisable depuis ton accident. Mais se n'est pas une raison.

-Tu es bien marrante toi... Je me demande se que tu peux bien être pour parler ainsi...

Je finis enfin par lacher son bras.

-Faire quelque chose pour une inconnue... Jamais fait. Surtout quand on ignore se qu'elle désire...

Invité

La jeune fille haussa les sourcils suite à la phrase que tu venais de prononcer... Nanako, intrépide Nanako... Tu devrais peut-être te montrer plus sociable...

Des personnes agréables, nombreuses étaient dans le pensionnat, mais gentils et méchants ont la vieille habitude de s'aventurer sur les terres des autres... Or, la pension ne faisait exception à cette règle... Tout cela, tu le savais très bien, jeune Nanako... Mais pensais-tu en bons nombres ?... Pour toi, le fort pourcentage de ces deux clans qu'étaient la méchanceté et la gentillesse penchait plus vers ce dernier... Tu n'avais sûrement pas tord... Mais cette lois te faisait penser que chacune de tes rencontres se faisaient avec des personnes naïves, bercées par la douceur de la gentillesse depuis leurs plus tendres enfances... Mais sur ce point-là, tu te trompais... La demoiselle de devant toi n'avait rien d'une fifille à frous-frous qui ne vit que de sourires et de tendresse...

Cette dernière sortit son second bras de sa poche, ainsi tu découvris le bandage cachant tout son long, mais ne masquant pas le fait que celui-ci était mécanique... Elle posa sa main sur ton bras alors que te laissais faire avec amusement, persuadée que tu te dégagerais de son emprise quand le moment serait venu... Mais elle serrait ton bras tellement fort que tu ne pus t'empêcher de pousser un petit gémissement de douleur.

"Quelque chose..."

"Oui, quelque chose... Cherche ma puce, cherche..."

Elle continuait de serrer fermement ton pauvre bras que tu ne pouvais bouger... Tu faisais une grimace pour essayer de masquer ta douleur, évitant ainsi qu'un second gémissement ne s'échapper de ta bouche...

"Tu es bien marrante toi... Je me demande se que tu peux bien être pour parler ainsi..."

"Haha, quelle question, juste moi voyons... Nanako Kaede..."

Suite à tes paroles elle lâcha enfin ton bras, et tu poussas à l'interieur de toi même un soupir de soulage. Tu plaças ta main sur ton bras et le massas doucement...

"Faire quelque chose pour une inconnue... Jamais fait. Surtout quand on ignore se qu'elle désire..."

"Une inconnue ? Hin hin hin, quelle ingrâte... Ne t'en fais pas, tu vas bientôt me connaître..."

Tu jetas un coup d'oeil vers le bras mécanique de la jeune fille... Un sourire moqueur vint se dessiner sur tes lèvres...

"Je vois, toi non plus, la nature ne t'as pas vraiment fait de cadeau... Hin hin, pauvre enfant..."

Même si tu voyais en cette personne quelqu'un devenu fort, jamais tu ne te rabaisserais à traiter un pensionnaire de Tsuruko comme ton égal... Nanako, tu resterais toujours fidèle à tes sentiments...

"Ce que je désire ? Pfff, tu n'as qu'à trouver par toi même ! Tiens, je suis nouvelle dans cet établissement... Allez, touve !"

Tu ricanas légèrement... Osez lancer de tels ordres à une personne que tu venais de croiser, cela faisait parti de ton caractère... Tu faisais cela sans la moindre gêne...

"Sauf si tu es inférieur à l'être vivant au point de ne savoir que faire !..."

[i]

Invité

"Une inconnue ? Hin hin hin, quelle ingrâte... Ne t'en fais pas, tu vas bientôt me connaître..."

Elle jette un coup d'œil vers le bras mécanique de la jeune fille... Un sourire moqueur vint se dessiner sur ces lèvres...

"Je vois, toi non plus, la nature ne t'as pas vraiment fait de cadeau... Hin hin, pauvre enfant..."

Je pense deviner que cette fille aime être méchante… On ne va pas s’entendre. Puis ma vie privé ne la regarde pas.

"Ce que je désire ? Pfff, tu n'as qu'à trouver par toi même ! Tiens, je suis nouvelle dans cet établissement... Allez, trouve !"

Elle ricane légèrement... Cette fille a un social pire que moi…

"Sauf si tu es inférieur à l'être vivant au point de ne savoir que faire !..."

-Bon…

Cette fille m’exaspère et je ne suis pas patiente… Je ne vais pas chercher à bien m’entendre avec elle. Puis, je l’ai vu se retenir de gémir, elle a souffert pour son bras…

-On est jamais mieux servi que soit même… Tu connais cette phrase?

Je baisse la tête. Mon œil rouge ressort avec l’ombre de mon visage. D’ailleurs, ça fait peur quand on voit ma tête. Pas vraiment volontaire.

-Donc si tu veux quelque chose tu as deux options. Soit tu essayes d’être un minimum aimable, soit tu te débrouille toute seule.

Invité

"Bon..."

La jeune fille ne semblait pas enchantée par ta proposition. Aussi, ton impolitesse ne devais pas vraiment lui faire plaisir, le ton sur lequel tu lui parlais n'était guère le plus agréable, tu la considérais comme un être inférieur... Tu pensais ne rien pouvoir en tirer, mais tu l'écoutais tout de même te sermoner :

"On est jamais mieux servi que soit même… Tu connais cette phrase ?"

"Le fil de la vie fait que parfois, on se met à nier les vieux écrits..."

Tu avais dit cela d'un air exaspéré, cette fille t'ennuyais. Elle n'était pas une petite idiote et naïve, loin de là, surement ce qui te dérangeait en partie : tu avais bien envie d'embêter une petite innocente, la faire tourner en bourique. Mais te jouer de Sasha ne serait pas une mince affaire, tu n'avais nullement envie de tenter quelque chose avec elle...
La jeune fille baissa sa tête, ainsi tu peux admirer son drôle d'oeil. Tu n'y accordais maintenant plus beaucoup d'attention, l'habitude de sa vue t'avais permis de l'oublier un peu, même si cela n'empêchait pas le fait qu'il ne te rassurait pas grandement...
Même pas du tout.

"Donc si tu veux quelque chose tu as deux options. Soit tu essayes d’être un minimum aimable, soit tu te débrouille toute seule."

La demande de Sasha était tout à fait normal. Qui, s'il tombait sur une personne semblabe à toi, Nanako, accorderait d'exécuter ton ordre sans les moindres "s'il vous plait" ou même "merci". Ton plus gros défaut, Nanako, était certainement là... Mais dans ta tête un roulement d'idées ininterromput était toujours présent, aussi decidais-tu de tenter une "approche" avec elle...

"Bon, d'accord, excuse-moi de t'avoir adressé la parole ainsi. Je te présente mes excuses... Est-ce que tu veux bien m'aider, s'il te plait ? Je suis nouvelle et... Je me sens seule ici... Tout le monde me hait..."

Ce qui n'était pas entièrement faux, étant donnée ta façon de parler...

HRP:

Invité

"Bon, d'accord, excuse-moi de t'avoir adressé la parole ainsi. Je te présente mes excuses... Est-ce que tu veux bien m'aider, s'il te plait ? Je suis nouvelle et... Je me sens seule ici... Tout le monde me hait..."

Mh? Tiens? C'est donc aussi simple que ça? Elle se calme vite. Je ne vais pas m'en plaindre.

-Je veux bien essayer de t'aider, mais je ne te garantis rien.

Je fais une petite pause et reprends.

-Si tu veux qu'on t’apprécie, je te conseil fortement d'être au moi aimable envers les autres... Pas comme tout à l'heure... Ce n'est pas toujours agréable quand on se fait mal parler. La méchanceté gratuite n'a jamais été bonne dans la vie.

Cette méchanceté gratuite de ce fou il y a longtemps, m'a couté mon œil, et mon bras. Je sais donc de quoi je parle...

Spoiler:

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