Présentation de Sei Fujiwara
D'où vient le physique du personnage ? : Kaïto, des Volcaloid. Age : 15 ans
Sexe : Masculin
Nationalité : Japonais
Type : Psychic
Caractéristique : Télékinésie
Caractère (3 lignes complètes minimum) : Colérique, pas toujours aimable, Sei est une vraie boule de nerf qui n'a que des idées et des pensées pas toujours très nettes. Le sang et la souffrance l'amuse, c'est sadique mais c'est comme ça. Il détient un caractère pervers également, sadomasochiste. Aimant plus la soumission que la domination quand on en vient à parler au domaine sexuel, dans la vie social il préfère maîtriser les gens.
Il n'est pas du genre à parler avec tact et quand il à quelque chose à dire, ses élocutions peuvent parfois être blessantes, mais il s'en fiche. Traînant souvent dans les rues, c'est un délinquant qu'on pourrait qualifié de juvénile si ses antécédents judiciaires n'affichaient pas plusieurs meurtres ou viols.
Ses rires ne s’esclaffe que dans la douleur d’autrui, et une de ses citations favorites rappelle sa cruauté incandescente : « Les hommes chassent les animaux, et moi je chasse les hommes ». A quoi bon se soucier de ce qu’il va lui arriver, on finira tous par mourir, et cette culminance est présente chaque jours, c’est ce qu’il garde en tête.
Physique (2 lignes complètes minimum) : Des yeux d'un bleu cobalt étincelants accordé avec la beauté de ses cheveux de même couleur, Sei est plutôt grand, dans les environs des un mètre soixante-dix-sept et finement musclé, avec une apparence plus androgyne que viril il a cependant une force qu'il ne faut en aucun cas négligé. Comme on dit les apparences sont trompeuses, et il n'hésite jamais à user de vigueur avec ceux qui lui cherche un peu trop des noises.
Il n’arbore jamais une mine bien joviale, ce qui rend le contact avec la civilisation un peu plus difficile, mais ils n'ont pas qu'à s'arrêter sur les apparences. Il porte avec lui sans cesse un carnet et un stylo plume, passionné d'écriture.
Ses habits sont la plupart du temps des chemises entrouvertes et des jeans pas toujours intacts. Un tatouage vient mourir sur le bas de son dos, un kanji (希望 = Espoir), il ne le montre jamais, c'est comme un secret. Une marque rouge vient traverser son dos également signe d'un passé pas très glorieux. Il détient rapidité, vigueur et agilité sans pour autant évolué en un type baraqué, à vrai dire, il déteste ce physique et ne changerais le sien pour rien au monde.
Goûts (3 lignes complètes minimum) :Il adore l'écriture, les choses artistiques telles que les esquisses et les caricatures des gens qu’il croise. Mais sa plus grande passion reste l’art du manga, où il s’entraîne plusieurs fois par jours. Il a une passion effrénée pour les pommes et le chocolat. Il adore les chats. Ces êtres petits et justes, agiles et futés ainsi que indépendants, Sei aimerait bien être un de ces animaux qu’il juge bienveillants. Au contraire des chiens, qu’il abhorre dans le sens ou c’est un dominé auprès de l’homme, c’est-à-dire ce qu’il ne voudrait jamais devenir.
Histoire (5 lignes complètes minimum) :Ce passé enterré, mort, reviens à la surface quand il voit des inconnus dans la rue, se promenant innocemment avec leurs gamins. Lui, n'avait pas eu la chance de connaître une enfance guillerette. A vrai dire, il ne se souvient pas de quand il avait commencé à vivre à la rue ni pourquoi. Ses seuls habits étaient un jean déchiré et un tee-shirt trop grand pour lui, déjà tâché d'on ne sait trop quoi. Il traînait dans les rues, pieds nu, seul, et personne ne lui accordait un regard compatissant ou amical.
Toujours traité comme un vulgaire clébard galeux. Même les marchands refusaient qu’il entre dans leurs échoppes soi disant parce qu’il ferait fuir toute la clientèle. Sa souffrance se transformait en haine, et il se jura de ne plus faire confiance à l’espèce humaine. Considéré comme un animal, il dormait dans un carton déjà souillé à côté de poubelles publiques.
Un jour qu’il tentait d’être seul et apaisé dans cette ruelle ombrée, un gang l’avait chopé sans problème. Trop faible pour réagir, il avait faim, froid et ses muscles étaient trop endoloris pour faire quoi que ce soi. Il restait muet, les yeux gorgés de larmes, un regard éteint, comme mort. Un ange brisé, il fut laissé à l’abandon dans cette même rue, à l’agonie, violé. Le dos profondément marqué, assigné par une des armes de cette bande aux intentions négligeables. Pourquoi lui ? Il n’avait rien fait de mal pour demander une telle souffrance à ce qu’il croyait être l’enfer.
Sei était seul, la respiration courte, dévêtu et blessé. L’enfant entendait les rires moqueurs de ses agresseurs qui, avec contentement s’était carapaté sans plus de manières que ça. Une voix doucereuse retentit après quelques heures, une voix de femme. Elle le prenait en pitié et l’aida à se relever, alors qu’il dégoulinait de sang et de souillures infâmes. Il avait douze ans, autant dire que sa vie n’était pas glorieuse, et à présent, c’était la seule personne qui vint à son aide. Elle le ramena chez elle, habillé de ses vieux vêtements et puis lui fournit de quoi se nettoyer et des habits propres et chauds. Dans une timidité et une honte extrême il hésitait à lui faire confiance. Elle s’appelait...Ayano Fujiwara.
Il vivait à présent chez elle, elle avait trente ans et elle était veuve. Ayant un fils de quinze ans également décédé, elle ne supportait plus la solitude depuis bien longtemps. Passé devant nombres de juge il avait adopté un caractère méchant, même si avec sa « mère » se comportait de façon exemplaire.
Un jour à ses dix ans, qu'il regardait le ciel, contemplant les étoiles et la Lune dans la nuit noire, quand il s'ennuyait. L'astre lunaire se mit à changer subitement de couleur et devenue fort brillante. Tandis qu'il observait avec étonnement ce singulier évènement qui se stoppa quelques temps après, Sei retourna dormir, les images de l'astre magnifique en tête. Mais au matin il se sentait différent, il était doté de d'un don "surnaturel", la télékinésie. Il vivait avec quelques difficultés avec ce don jusqu'à ses quinze ans où il intégrait un pensionnat différent des autres, le pensionnat Tsuruko.
Ma Présentation
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