John se baladait d'un pas tranquille vers le pensionnat Tsuruko, il n'y a pas longtemps, il fut admis dans cette école entant que professeur d'histoire et comme ça, si un élève à besoin d'aide dans le contrôle des éléments (notamment l'eau) il pourra l'aider. Il aime se sentir utile, pas que dans sa matière, mais dans les autres. Et c'était avec un sourire rayonnant et chaleureux que le nouveau professeur d'histoire entra dans le pensionnat et adressa un bonjour à la personne à l'accueil.

- Hello Mme, je suis le nouveau professeur d'histoire.
- Ah oui... Mr comment ?
- John Harry Miller. Fit-il avec un grand sourire.

Il pianota sur le clavier de l'ordinateur et se retourna vers John.

- Vous saurez dans le dortoir n°4 Mr Miller, bienvenue au pensionnat Tsuruko.
- Merci.

La secrétaire lui passa les clés, John prit sa valise et la mit en bandoulière, il ne fit quelque pas vers un couloir et en tournant à droite, une fille lui fonça dedans. John faillit perdre l'équilibre, mais la gamine tomba par terre.

- Ça va ? Demanda-t-il.

Il l'aida à se relever.

Le jour est déjà lever dans le pensionnat, la lumière du jour passe par la fenêtre pour chatouiller mon visage, essayant de me réveiller. Malheureusement pour moi, en sachant que j'ai cour, je me lève et me dirige directement vers la salle de bain où je reste dedans environs 10mn : toujours pas bien réveiller. Une fois finit, je me brosse les cheveux puis la repose e ayant terminé.

-C'est aujourd'hui. Marmonnais-je dans mon coin.

Aujourd'hui, je suis excitée comme une puce, pourquoi? En réalité, étant donné que je suis dans ce pensionnat depuis un bout de temps, mes pouvoirs se sont un peu évolués, par exemple, la nuit dernière, j'ai rêvé qu'un homme allait venir dans l'établissement, un professeur, je l'ai et je le redis, mes prémonitions ne me cachent rien, aucun suspens.

Je suis arrivée à la sortie du dortoir des filles, pleins de personnes étaient déjà lever, je relève légèrement ma tête pour apercevoir un ciel grisé...*Peut-être qu'il va pleuvoir...?*...J'arrive à l’accueil et là, je précipite le pas jusqu'à ce que je percute quelqu'un. Bien solide comme il est (sachant que c'est un homme, 10s auparavant) c'est moi qui tombe sur mon pauvre derrière et lui, ne bougeant pas, reste intacte...*Aïe*

-Ça va?

Je relève ma tête et vis la personne dont je voulais rencontrer. Il es assez grand ; c'est sûr c'est un prof' et eu la gentillesse de m'aider à me relever.

-Oui, merci...Je vous prie de m'excuser. Je ne regardais pas où aller. Mentais-je pour ne pas le choquer comme je l'ai fait avec quelques autres personnes. Et vous vous allez bien?

*La question la plus bête qui soit...*

- Oui, merci... Je vous prie de m'excuser. Je ne regardais pas où aller. Mentais-je pour ne pas le choquer comme je l'ai fait avec quelques autres personnes. Et vous vous allez bien?
- Je vais merci. Répondit-il avec un sourire. Et euh... Peut tu m'aidais à trouver les dortoirs, je suis un peu perdu à vrai dire.

Elle hocha la tête, sourire aux lèvres. John se laissa guidait par la gamine.

- Au faite, tu t'appelles comment ? Moi, je suis John Miller.

Elle lui répondit qu'elle se nommer Haru No Kaori.

- Pourquoi avais-tu l'aire si presser tout à l'heure ? Je peux te tutoyer ?

Il se maudit lui-même, l'accablait avec toutes ces questions ! Cette dernière lui sourire. Ils bifurquaient dans un autre couloir et John marcha en arrière pour voir déjà le chemin qu'ils avaient fait.

Et bien, il en a du chemin ! pensa t-il, il se retourna et évite de peu un panneau d'affichage se trouvant ici.

Il me répondit avec une réponse positive accompagné d'un sourire, il me demanda ensuite de le guider dans les dortoirs ah, problème, les filles son interdites là bas, bon, je vais juste lui montrer le chemin et il se débrouillera ensuite.

Je finis par hocher la tête en signe de oui. Après quelques secondes, il me bombarde avec des questions, j'attends jusqu'à ce qu'il finissent toutes ses questions, jusqu'à ce qu'il n'en n'a plus en stock pour répondre. Après qu'il eu finit, pardon? Comment puis-je le savoir? Très simple, de 1 : Je suis voyante, de 2 : Parce qu'il s'est retourner en regardant le chemin qu'on avait pris, très très simple.

- Je m'appelle Haru No Kaori, enchantée Mr.Miller. Je voulais juste vous rencontrer rien de plus et oui vous pouvez me tutoyer étant donné que vous êtes un professeur. Lâchais-je d'une seule bouffer d'air.

On arrive enfin à la sortie de l'immeuble, à présent nous somme dans la cours, je me dirige en direction des dortoirs puis m'arrête net, une petite prémonition me dit qu'il s'est arrêter devant le panneau d'affichage et je me rebrousse les quelques pas que j'avais fait.

-Sans vouloir vous enfoncer Mr, mais vous devriez d'abord poser vos affaires dans votre chambre puis visiter, enfin, c'est mon opinion à part si vous voulez visiter d'abord. A vous le choix.

Et un nouveau sourire ! À croire qu'il ne peut pas s'empêcher de sourire à tout le monde à n'importe moment... Même dans les pires situations. Il pas longtemps à réfléchir, bien sur qu'il voulait poser sa valise, se devenait inconfortable à vrai dire.

- Pour la visite du pensionnat, je pense que déjà savoir où sera ma future salle de classe passe avant tout. Dit il avec un ton amuser. Puis je me permettre une dernière question ? Je suis désolé de t'accablais avec mes questions et je comprends parfaitement si tu ne veux pas y répondre.

Sur ces mots, il avait mis la languette de façon à ce qu'elle ne face plus trop mal à l'épaule. Il se demanda ce qu'il avait dans cette foutu valise pour qu'elle soit aussi lourde !
- C'est marrant... Je sais même plus ce que j'ai mis dans ma valise moi ! pensa-t-il tout haut en réprime une grimace de douleur.

La jeune Haru avait l'air t'attendre. Ah oui la question ! C'est vrai...

- Étant donner que cette école possède des élèves normaux et d'autre qui on des pourvoir, j'aimerais savoir se toi tu en as ? Tu n'es pas obligeais de répondre à cette question. Je dois avouer que je suis un peu trop curieux. Dit il avec un rire nerveux.

Ps : Peut être que Tsukiyo vas nous rejoindre si sa ne te gène pas