Matthew Walkers [Supprimé]

Invité

Pprésentation de Matthew Walkers

D'où vient le physique du personnage ? : je sais pas ^^, je l'ai pris sur un site d'avatar

Age : 16 ans
Sexe : maxculin
Nationalité : américain
Type : Superhéros
Caractéristique : Contrôle de l'air , Maîtrise de la Baston
Caractère (3 lignes complètes minimum) : Matthew est quelqu'un de joueur qui tient beaucoup à des valeurs comme la liberté et la justice, c'est là où est né le pire défaut de Mat : l'exagération. Il a tendance à tout exagéré et trop dramatiser, mais c'est pour lui une forme d'expression, autant lorsqu'il se lance dans une tirade à n'en plus finir que lorsqu'il transforme une situation banal en n'importe quoi. Cela peut-être prit pour de l'extravagance de sa part. Mat est très ouvert d'esprit et se montrera très amical et très confiant envers les gens non-inquiétants (vous ne tomber dans cette catégorie que si vous vous habillez en noir et vous vous baladez avec des armes ou que vous êtes un motard tatoué...et que vous vous baladez avec des armes). Matthew est conscient que la plupart du monde le qualifierait de "stupide", mais c'est plutôt qu'il n'aime pas faire usage de sa tête qui peut se traduire par un désintérêt total pour beaucoup de matières scolaires et préfère les méthodes directes pour résoudre un problème. Un imbécile au grand coeur. C'est la meilleurs phrase pour le décrire, il est idéaliste et pense changer le monde un geste à la fois.

Physique (2 lignes complètes minimum) : Mattie n'a jamais vraiment sortie de l'ordinaire en apparence. Un peu plus petit que la moyenne avec ses 1m68, il a des cheveux châtain-pâle et une taille normale. La seule chose qui pourrait sortir de l'ordinaire sont ses yeux, d'un brun tellement pâle qu'à la lumière ils peuvent paraître orange. Étant plutôt manuel qu'intellectuel, ses mains sont calleuses. Il a une cicatrice dû a un coup de couteau sur le flanc droit. Le jeune garçon aime s'habiller de couleur chaudes et de noir.

Goûts (3 lignes complètes minimum) : Comme dît plus haut, Matt aime les couleurs chaudes, il n'aime pas les tons pastels ou les couleurs trop flashes. Il préférera les tons plus ternes, sa couleur préféré étant d'un orange-brunit. Sinon, le gamin aime rendre service, il n'aime pas se servir de sa tête et adore tout ce qui est en lien avec la justice (sauf la paperasse). Il n'aime pas être immobile et attendre. Il adore le vent et le ciel et n'aime pas être enfermé entre quatre murs. Il abhorre les armes et les crimes qu'il considère grave. Sinon il aime le soccer,le baseball, parler, le chocolat,la lumière, le jour, dormir et en général tous ce qui est manuel comme tâche (sauf la paperasse¬¬).Il aime les superhéros.
Histoire (5 lignes complètes minimum) /Facultatif/ :

"[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]"

-Bernard Werber

Son monde, était un monde de silence.

Aussi longtemps qu'il pouvait se souvenir, il n'y avait que cette voix, qui semblait parfois provenir du vent, parfois du plus profond de son être pour lui parler, lui tenir compagnie et l'écouter. Ce n'était jamais des phrases, simplement des mots, qui pourtant voulait tout dire.

"-libre?"

Questionna-t-elle curieuse, hélas le gamin ne pouvait que lever ses yeux vers le ciel, parfois bleu, parfois noir, souvent gris, et sourire tristement avant de secouer la tête. Non, Émile n'était pas libre, il vivait dans un monde ou pour toujours il porterait la corde au cou et le ridicule dans la voix, il vivait dans un monde silencieux où ce qu'il entendait n'était ni de lui, ni pour lui, et il vivra comme cela jusqu'à ce qu'il meurt, fort probablement d'une balle entre les deux yeux, par ce qu'il en avait trop entendu. Et comme s'il elle compatissait à son sort, une douce brise venait lui caresser les joues, affectueusement, et au comment tristement....

Par ce qu'elle était son éternelle compagnon, elle l'avait accompagner dep-....

Un crissement affreux résonna, et le força à revenir à la réalité alors qu'il fut d'un coup, soulever de terre. Le souffle lui manqua cruellement alors qu'il percuta le devant du capot avant que le réalité le frappe plus cruellement encore, sous la forme d'un trottoir en béton. Le monde tournait sous ses yeux et une cacophonie de bruit résonnèrent dans ses oreilles. C'était comme être prit dans un carrousel qui tournait de plus en plus vite, sans possibilité de savoir se qu'il y avait au-delà du flou.

-Fuck, kid tu vas bien?

Il entre aperçu un visage à la peau tanné et au cheveux noir, et à son interlocuteur ne pu répondre....Qu'en vomissant.

***

-Woah, tu m'as foutu la peur du siècle gamin, j'étais certain que je t'avais tué...

Émile 8 ans, était assis dans un charmant parc avec l'homme qui ,le quart d'heure précédant avait manqué de le tué, pour se racheter le (charmant?) monsieur lui paya un crème glacée en s'excusant mille et une fois et tentant de le traîner à l'hôpital encore plus de fois. Il devait s'inquiété de voir l'enfant si peu réactif, mais c'était normal pour Émile, car son monde était silencieux, il n'avait pas un mot à dire sur se qu'il lui arrivait ou se qu'on lui demandait de faire. C'étai comme ça, point barre.

-Alors kid, où sont tes parents? Où t'habites?

Il faut comprendre qu'un gamin de 8 ans se promenant librement le soir dans les rues malfamées de la ville et acceptant de prendre une glace avec un parfait inconnu pourrait être vu comme une très mauvaise éducation de la part des parents.

- St-Ambroise.

L'homme se tût. Si St-Ambroise était un endroit, il se trouve que c'était malheureusement un endroit pour les enfants sans parents...C'était une réponse à tout. L'homme était visiblement mal à l'aise et le silence s'étirait. Émile étudia sans retenu(ni intérêt d'ailleurs) son interlocuteur. Dans la trentaine, la peau foncée, les cheveux foncé peigné vers l'arrière, avec des yeux chaleureux noir qui avec tout le malaise dû monde était concentrer sur le sol. Ses vêtements étaient simples mais de bonne marque, il se tenait assis d'une posture décontracter sur le banc, bien que ses mains serraient nerveusement sa coupe glacée. C'était à se demandé se qu'un homme tel que lui venait chercher dans les bas fonds d'une des villes les plus sales des États-Unis.

-hum..Tu t'appelles comment?

-Émile.

De nouveau le silence retomba. L'inconnu ne sachant visiblement pas quoi dire et le gamin n'aimant pas particulièrement converser.

-Hum...M-Moi c'est Michaël Sanlozre, mais tout le monde m'appelle Mike, sens toi libre de faire de même.

C'était pathétique de voir un homme adulte ainsi intimidé devant un enfant, mais bon, considérant qu'il avait faillit le tuer, Émile pouvait comprendre.

-Hum...Il se fait tard...Tu devrais rentrer....

Le gamin hocha la tête, et jetant son dessert à peine entamé quitta les lieux sans mots dire. C'est à peine s'il entendu son étrange interlocuteur lui dire de faire attention. Et si pendant une heure Émile aurait pu savoir l'effet de la liberté, il passa sur sa chance.

Et son monde redevint celui de silence.

***
-Tu sais ce qu'il va arriver si un mot de tout ça s'échappe et que les chiens rappliquent....
***
"-Libre?"

Le jeune savait qu'elle ne voulait pas être méchante, qu'elle était simplement curieuse, mais sa curiosité était effroyablement cruelle. Mais il supposait que ça ne devait pas l'affecté, après tout, il c'était déjà fait à l'idée, il S'était déjà résolu.

Alors pourquoi cette affreux pincement au coeur alors qu'il secoua la tête pour lui répondre?

-T'as comprit?

Sursautant il hocha la tête précipitamment même s'il n'avait aucune idée de se qu'il parlait. Carlos lâcha un long soupir avant de reprendre d'une voix plaignarde.

-J'te dis!Si j's'rais pas là Mile tu s'rais mort y'a longtemps.

Le pire c'est que le gamin ne pouvait absolument pas contester cela, même s'il l'envie le prenait. Son supérieur reprit

-Va j'ste r'porter c'que j'té dit à M'sieur Tony , ça s'ra tout pour Auj'd'hui.

Dit-il, toujours de son vocabulaire étanche et de sa prononciation impeccable. Le pré-adolescent hocha de nouveau la tête avant de sortir du vieux bâtiment abandonné qui leur servait de base. C'était un gratte-ciel, haut d'une quinzaine d'étage qui devait être à vendre depuis au moins un quart de ciel mais que personne ne se hasardait à acheté (si les nombreux graffitis, les fenêtres brisées et les rumeurs des morts...euh...violentes n'étaient pas d'assez bons indicateurs du hasard auxquels pouvaient se préparer d'éventuels acheteurs). Le travail qui avait été rejeter sur l'enfant n'était pas un travail de bénévole, en fait, dans plusieurs sociétés, cela pourraient être considéré lâche d'envoyé un gamin faire le messager entre les différents gangs, mais il fallait dire qu'avec le caractère impulsive et furieux des différents chefs, le messager avait souvent passer pour bouc émissaire, ou c'était montrer trop bavard, faisant du poste quelque d'affreusement vacant et indésirable...Pour ceux qui avait le choix. Pour le reste, c'était assez convenable pour se débarrasser d'éventuel cafter (si on ne les balançait pas du haut d'un immeuble d'abord). Émile avait la chance d'être un enfant, et même pour le standard des gangs d'être considéré comme jeune, et donc était moins à risque de se faire tirer une balle pour avoir délivrer une mauvaise nouvelle.

Mais il n'avait aucun doute que ça finirait par arriver.

***
-Tu veux partager son sort c'est ça!
***

"-Ami?"

Il ne savait même pas si la voix connaissait réellement le sens du mot, et peut-être pour la première fois il lui semblait entendre des nuances de moquerie.

Il avait un affreux mal de tête.

-...Alors tu sais ce qu'elle lui dit? Désolé, je crois que la personne que vous cherchez c"est ce monsieur!

M. Sanlozre éclata de rire à sa propre blague même pas un tantinet dérangé que le gamin restait de glace. C'était tout simplement étonnant pour l'enfant à quel point les gens pouvait être différent d'une fois à l'autre. Il avait peine à croire que l'homme qui riait accaparant la conversation de toutes sorte d'histoire, tout à fait à l'aise, était le même que l'homme intimidé de la dernière fois.

Ça devait être les circonstances, cette fois il manquait le presque-accident. Qu'elle était la chance de manquer de se faire rentrer dedans par un homme après quoi, la semaine d'après manquer son coup en pickpocketant ce même homme? Quand aucun d'eux ne c'était jamais rencontrer avant?

Le destin devait le détester...

Au moins "Mike" n'avait pas comprit la situation. Le gamin ne savait pas pour quoi il avait prit la pas-si-discrète tentative de prendre son portefeuille mais il semblait maintenant croire que le gamin était l'un de ses meilleurs amis.

Scratche ça, le destin l'avait en horreur...

-...et là mon ami Érick qui est policier...

Le gamin figea... Si son "ami" le remarqua, il n'en dit pas mot, continuant sur tirade alors qu'Émile sentait une boule de glace s'installer dans on ventre.

Scratche ça le destin semblait faire de lui son ennemi jurer, voulant sa mort.

Si quelqu'un le voyait un jour discuter avec ce type, et voir ce type avec un policier...IL se ferait tuer...Bang, finit. C'était sa triste vérité.

-Ça va kiddo?

De l'inquiétude. Ah, si seulement il savait.

-Je vais mourir.

Le gamin sauta sur ses pieds, et s'enfuit du parc à pleine jambes, sans tenter de se retourner, de prendre en considération des yeux effrayés, et grands de l'homme, ou la façon plus désespéré qu'il se leva pour poursuivre l'enfant. Mais aussi rapide et en forme que l'homme était, face au gamin qui connaissait les rues comme le fond de sa poche, c'était peine perdu.

***
"-Là."

Oui, merci beaucoup, mais Émile l'avait remarquer. L'homme était encore là. Chaque jour il venait avant le dîner, s'installant avec son portable dans ce parc malfamé qui avait été l'hôte de leurs étrange rencontre. C'était à croire qu'il n'avait pas de travail! Pourtant, il quittait les lieux toujours déçu, et le gamin savait qu'il tentait de le revoir. Et la persistance de l'homme l'énervait au plus au point. Était-ce par ce qu'il se sentait toujours mal d'avoir faillit le tuer? Il fallait pas.

Des gamins comme Émile il en disparaissait chaque jour, et personne ne s'en souciait. S'il mourrait personne ne le pleurerait.

Pourtant comme la voix le faisait remarquer, il revenait chaque jour. Pendant deux semaines il vint autant qu'il le put. Tellement que le gamin devint habituer à sa présence de ce parc abandonné. C'est peut-être pour cela que le jour où il ne vint pas. Ce fut comme un choc comme si quelque chose manquait.

Sans même s'en apercevoir la tendance fut inversé, et ce jour, Émile l'attendit sur le même banc que Mike prenait habituellement. Aussi longtemps qu'il le put, avant de retourner à ses occupations. Puis le lendemain il recommença.

"-Pourquoi?"

C'était une sacrée bonne question, mais le gamin n'avait pas réponse. Autant avant il fallait qu'il fuit l'homme comme la peste que maintenant il fallait qu'il le voit. C'était comme la même panique glacé qui l'avait poussé à s'enfuir pour sa vie qui maintenant revenait le hanté. Revoir Mike était maintenant une priorité, et cette pensée était des plus étrange par ce qu'elle brisait complètement son monde de silence, qui avait prit tant d'année à bâtir si soigneusement.

Le quatrième jour, alors qu'il entendait sous la pluie froide il commença à se dire que peut-être Mike le prenait réellement pour mort maintenant. Il qu'il ne reviendrait plus. Cette pensée le rendait vraiment anxieux.

-Kiddo?

Il était là, surprit, mais là, un sourire s'étendu lentement sur ses lèvres. Et Soudainement l'anxiété du gamin retourna, mais pour la même raison qui l'avait pousser à fuir cette fois... Il... Il n'allait pas se faire tuer pour ça hein?...Juste pour parler à un autre être humain?...Et Mike n'allait pas rire le traité de fou, hein?

***
-EST-CE QUE TU COMPRENDS?!
***

C'était étrange. Mike n'avait même pas évoquer la dernière fois, il continuait juste de faire la conversation, bien que " conversation" soit plutôt inexacte considérant le fait que c'était plutôt lui qui parlait et de tant à autre le gamin qui hochait la tête. Et il continuait de se rencontrer ainsi, deux, trois parfois même quatre fois par semaines et de discuter.

Le plus étrange c'était qu'Émile pouvait appeler Mike son ami

Le plus triste étant que mis à part la voix, c'était le seul.

***
-Pas un mot...Silence...Nada....
***

Si Mike avait apprit quelque chose de la vie, c'était qu'étant journaliste, tu devais te préparer à tout.

Il avait remarquer biensûr que quelque chose n'allait pas avec Émile, affectueusement rebâtisé "Kiddo". Il ne parlait jamais, il y avait ces fois, où il, regardait autour de lui avait une paranoïa qu'aurait fait rougir la CIA, il semblait incapable de faire des choix, ou même de répondre à des questions. C'était un Kid de rue et le coeur du vieux journaliste se figeait lorsqu'il pensait tout se qui pouvait mal tourner autour de lui. Gang de rue, drogue prostitution n'étaient que des bien piètres exemples. Les rues, surtout de ses quartiers empestait les pires horreurs qui puisse arrivé.

-Qu'est-ce que vous faîtes dans la vie?

Il sursauta, c'était rare d'entendre un mot de la bouche du gamin, encore moins une phrase. Bombant le torse il répliqua fièrement.

-Je suis journaliste.

Le regard curieux du kid se tourna sur lui et il développa .

-Je reporte la vérité. au grand jour afin que tous puisse en être informé et réagir.

-Ça doit être nulle.

Les yeux gros il tourna son regard vers le gamin qui fixait intensément ses mains. Il devait vraiment perdre la côte avec les enfants si ceux si pensaient que le journalisme étaient nul maintenant. Ah....Où était passé ces Tintin et Sipou & Fantasio? Surment se n'était pas démodé?

-Pourquoi c'est nulle?

-La vérité est laide.

Dire qu'il fût bouleversé de la réponse de l'enfant serait comme dire que ça pourrait éventuellement pincé un peu de faire une chute de 20 étages... Quelle horreur un être si jeune devait avoir vu pour considéré laid tout ce qui est vrai?

-Pas toutes... J'parle c'est vrai, il y a parfois des trucs pas beaux, mais il y a parfois des trucs vraiment cool! Regarde la ville voisine par exemple, ils ont un super héros ça doit être...

L'enfant ricana, coupant court à l'homme. Pas la sorte de rire "hahaha que tu es drôle", mais un vrai ricanement, une sorte de "ah ça doit être beau de rêver".

Mike jurait, il allait commencer à perdre de la santé mental à cause du kid c'était certain.

-Ce sont juste des éberlués en collant qui veulent se faire remarquer.

Le gamin voulait battre son record de parole ou quoi? Son pessimisme brisait le coeur de l'homme.

-Hey, Kiddo, que penses-tu de la justice?

Comme s'il se rendait comptes qu'il avait trop parler le gamin se tût soudain et semblait hésitant à sortir même un mot. Alors que Mike se maudissa d'avoir ainsi bousculer l'enfant, maintenant il allait se fermé comme un huître. Il aurait de la chan...

-Elle a le bras court.

Il cligna des yeux pas trop sûre d'avoir bien entendu

-Pardon?

-La justice a le bras court.

Et par le regard de pure tristesse que l'enfant avait, l'homme savait que l'enfant parlait d'expérience. Lui même était journaliste et il en était plus que rendu compte. Une femme blanche de classe moyenne se faisait tuer? Une tragédie national, un kid des bas quartier? Dommage, gang de rue, merci à la prochaine. Les rues avaient qui avaient le plus besoin de se faire nettoyer étaient quasi ignorer. Et alors que l'homme prit une gorgé de son café il put seulement se dire à quelle point c'était triste.

-Je trouve personnellement qu'ils sont vraiment des héros, lorsque tu en as le pouvoir, n'est-ce pas héroïque de s'en servir pour le bien?

Mais la conversation était bien et belle morte cette journée là.

***
-Après tout, les accidents ça arrivent tout le temps...
***

Les semaines se changèrent en mois, l'automne fit place à l'hiver et le monde de silence du gamin était brisé par des ondes. Des bruits, autant des pensées que des voix emplissait maintenant l'espace, comme des murmures ,mais c'était déjà un pas de géant pour Émile. Un matin, les murmures se changèrent en cris, par un seul geste.

-Dit Kiddo... T'es pas obliger de répondre mais tu connaît le bar "Rubis & Co"?

Étrange question à pauser à un enfant, mais c'était les bas quartiers. Sans se méfier avec son ami de longue date (maintenant il le considérait comme tel) il hocha la tête. À ce, Mike semblait vraiment nerveux.

-Émile écoute...

Son coeur battait vraiment, s'il utilisait son nom à la place de Kiddo, c'était que c'était méga important.

-La nuit de Jeudi, faudra que tu t'en tiennes loin.

Il se figea...Qu'est-ce que tout cela voulais dire... Mike se rapprocha, de crainte que la conversation soit entendu, peu de chance, ils étaient seul.

-Les flics vont faire une saisi, ils vont débarquer en grand nombre et sa peut vraiment mal tourné d'ac?

Il ne pu que hocher la tête sous la choque. Comment savait-il cela?

***
-Et les gamins des rues disparaissent à tous les jours.
***

Après cela, leurs conversation furent tendu, nerveuse, aucun d'eux réellement d'étendu. Mais un autres incident de la sorte se reproduit à la fin de l'hiver au début du printemps, un qui marquera à la fois le début de la décadence et l'apogée de tout.

- Tu n'es pas obliger de répondre kiddo.Mais... Tu connaît cette homme?

Il lui tendit une photo et le monde arrêta de bouger, de respirer. De nouveau son monde fut celui du silence pendant quelques secondes. Antonio Vanderlaez, amicalement surnommé Tony, un de ses part-temps employeurs et l'un des parrains les plus puissants des bas quartiers, si pas LE. Il sentait son coeur battre dans ses tempes, merde, c'était peine s'il ne se pissait pas dessus à l'idée de ce que pourrait impliquer ses réponses. Avalant difficilement, comme si une corde se resserrait à son coup, il hocha quand même la tête. Mike se tendit, à la nouvelle. puis déposa son breuvage. Lentement, comme si sentant la peur du gamin et ne voulant pas l'effrayé d'avantages, il s'agenouilla le prenant par les épaules.

- Peux-tu me dire ce que tu sais?

Il secoua vivement la tête...La conversation était trop dangereuse...Oh...non...non...IL allait mourir...Il devait...

-Émile.

Ses yeux noirs se plantèrent dans les siens, et le gamins s'y accrocha comme à une ancre.

-Écoute moi... Antonio Vanderlaez est le chef de tous, le cerveau, si on le fait plonger, les sous-fifres et le commerce de drogue et d'arme plonge avec lui, les bas quartiers seront nettoyé du reste de la racaille.

Il voulait s'attaquer à lui!...Non il fallait pas...Ils allaiwnt tous les faire tuer..Ça ne se faisait pas!

-Vous... tué.. Pouvez pas.

Pourquoi sa gorge était si serrée, tout comme son coeur, il se sentait tellement étouffé...Si...

-Émile...Écoute.

L'affection couler des yeux noir de son ami, mais également un sorte de détermination féroce.

-Il y a deux ans, il a tué un policier en couverture, qui était également mon amis, le sergent Richard Carrington, il ...

-J-je sais... D-deux bal-les dans la t-tête...J-j'étais là...

Tout semblait figé...Il pouvait seulement entendre briser son monde si bien construit de silence, pour faire place à cacophonie de bruits et de paroles

BANG BANG..

-Tu sais ce qu'il va arriver si un mot de tout ça s'échappe et que les chiens rappliquent....

-Tu veux partager son sort c'est ça?!

-EST-CE QUE TU COMPRENDS?!

-Pas un mot...Silence...Nada....

-Après tout, les accidents ça arrivent tout le temps...

-Et les gamins des rues disparaissent à tous les jours.

Mon dieu, qu'avait-il fait? Il avait briser son seul bouclier contre la mort, sa seul règle..Il allait mourir...Il allait mourir...Il allait mourir...Il allait mourir...Il allait mourir...Il allait mourir...Il allait mourir...Il allait mourir...Il allait mourir...Il allait mourir...Il allait mourir...Il allait mourir.

"-Libre."

Ce n'était pas une question... Ça lui prit un moment avant de se rendre compte qu'il pleurait à chaudes larmes et que son ami le tenait contre lui, désespérément. Le gamin ne savait pas s'il devait être triste, en colère heureux...Il savait seulement qu'il était effrayé et que pour la première fois, il l'avait dit à quelqu'un.

***
Il se réveilla chez son ami, ses yeux encore bouffit rouge d'avoir tant pleurer, merde, il se souvenait pas d'avoir déjà pleurer avant. Il se sentait vide...Affreusement vide. Mike était encore avec lui. Et le silence s'étira.

-Écoute...Je sais que c'est terrifiant...Mais je t'ai déjà parlé de mon ami Érick, policier. C'est un flic honnête, je suis sûr que ton témoignage lui serait utile. Et on pourra le charger de meurtre...

-Je recevrais deux balles dans la tête avant...

C'était dit sèchement . Mais avec une tristesse qui en faisait mal. Il c'était déjà résolu à cela non?

-Émile écoute...Écoute moi bien..

Ah, il semblait dire cela souvent ses derniers temps.

-Le silence ne changera rien. Tu seras toujours condamné à traîner des secrets de plus en plus lourds jusqu'à se que tu coule avec eux. La liberté c'est de parler, ne laisser personne t'arrêter de parler, cris sur les toits jusqu'à tu n'aille plus de voix, c'est ça être un humain libre. On est libre dans nos choix et nos actions, et puis, ils ont un système de protection des témoins...Tu sais c'est quoi? On te donne un autre nom, te change d'endroit, et on te protège...Tu peux te sortir de tout cela, tu comprend? Il faut juste que tu sois fort .Pas longtemps d'accord? Je te promets que tout va bien aller.

Il vit bien que le gamin était terrifié, et pas encore convaincu, alors malgré son envie de le kidnappé, l'amener au poste et lui faire dire ce qu'il sait, l'homme se contenta de lui remettre la carte d'Érick avant, d'à contrecœur laisse partir le gamin.

Trois jours plus tard, Michaël "Mike" Sanlozre reçu deux balles dans la tête.

Émile replongea dans son monde de silence.

***
-Le silence ne changera rien
***

"-Libre?"

C'est comme lorsqu'on dort en marchant, il y a cette espèce d'engourdissement qui ne le quitte pas...C'est à peine s'il pouvait entendre la voix. Sinon, le reste de son monde était silencieux, comme pour atténuer la douleur qui le terrassait. La pire était intérieur, elle le rongeait c'était comme une voix (autre que la Voix) qui lui susurrait pour le blesser "vois, je t'avais prévenu" . Mais la plus réel était sans doute sur sa joue.

-PARLES! T'AS-TU DIT D'QUOI AUX CHIENS?

Que du bruit pour son mal de tête...Et toujours un langage sophistiqué de la part de Carlos...

-Tu seras toujours condamné à traîner des secrets de plus en plus lourds jusqu'à se que tu coule avec eux

Une main le tira vicieusement par le scalpe...

-Si ce n'était de moi, Tony t'rais tué y'a deux ans! Et c'est comme ça qu'tu m'r'merci?

Le pire c'était qu'il ne pouvait argumenté avec cette ça, même si l'envie le prenais.

"-La liberté c'est de parler..."

-Et y'...!

-Ferme-là...

Juste comme ça, une craquelure apparut, sur le monde de silence.

"-... ne laisser personne t'arrêter de parler..."

-PARDON?!

-T'es sourd en plus?Ta gueule. Tu empestes..

Avant de voler en éclat

Carlos fut plus sonné par la rébellion du gamin que par le coup qu'il lui donna, n'empêcha que sa poigne se relâcha et qu'avant que quiconque réagisse il s'était déjà engager dans les escaliers de la Base. Des cris et des insultes résonnèrent de tout bord. Il entendit même des coups de feu se qui le firent redoubler dans sa courses. Il n'était pas trop sûr ou il allait, pourquoi même. Ma la voix l'appelait, toute excitée avec des "par ici" ou des "encore un effort". La cage d'escalier faisait résonnées les sons, créant une cacophonie qui ne vin même plus à ses orreille. Il y avait seulement la Voix...Et une autre qui résonnait, comme dans son coeur.

"-...cris sur les toits jusqu'à tu n'aille plus de voix..."

Il arriva sur le toit, à moitié mort de souffle. Et après un petit moment, cinq hommes suivirent. Des espèces de gorilles qui pouvaient l'écraser d'un poing. Alors qu'Émile se tenait sur le bord, regardant les dangereux quinze étage qui le séparait du sol, ses attaquants avaient arrêté, conscient du fait qu'il n'avait nulle par où aller. Lentement, Carlos arriva, lui aussi à bout de souffle, un sourire au comment cruel, sur les lèvre...

-Allez, rends-toi, t'peux pas fuir...T'es coincé...J'te promet d'faire ça vite. Tu souffrira pas trop si tu t'rend sans résistances....

C'était tout? Deux minutes de liberté avant de se faire torturer à mort...Souhaite, il ira en dire deux mot à sa méthode à Mike de l'autre côté...

Sauf...Qu'il n'allait pas mourir...

Ce fût comme une vague de confiance qui soudain l'enserra, pour la première voix, il n'avait pas de corde au cou...Pour la première fois il vivait. Son monde de silence percer, il pu pour la première fois entendre son rire.

-T'trouve ça drôle?

Ça ne le fit que rire d'avantage et alors que les 6 hommes s'avancèrent sur le gamin, celui-ci sourit à pleine dents, en regardant le ciel.

"-...c'est ça être un humain libre."

"-libre!!!"

C'était un cri, et alors qu'il se laissa tomber, il ne regarda même pas les quinze étages de vides qu'il l'attendait, mais pour la première fois il cria, il lui répondu avec un coeur léger, un coeur volant

-OUI!!!!

Il était libre, pour la première fois de son existence. Comme pour le félicité le vent le frôlait de tout bord, faisait virevolté ses cheveux il le prenait dans ses bras et l'embrassait étant heureux pour lui. C'était l'euphorie total.

Il était libre, et le temps ralentissait, comme pour le laisser savourer. Il regardait le sol se précipité vers lui non pas avec crainte de la mort, mais avec la confiance de la vie. Il était déçu que ce termine la réalisation de sa liberté, mais il n'était pas inquiet. Il était à jamais libre maintenant, personne ne pourrait lui ôter.

À environ deux étages de se que les gens pourraient considéré comme leurs mort, le vent tournoya, suivant sa volonté, le propulsant soudain, vers le haut. Et Émile s'amusa en remontant sur un autre toit de voir l'air ahuris des six hommes qui le croyait aplatit sur le béton. Et il se jeta de nouveau dans le vide, se propulsant sur un autre toit, et sur un autre.

Toute la journée, il s'amusa avec son nouvel (ancien?) ami, jusqu'à ce qu'il ne soit plus capable. Et la réalité lui retomba alors dessus. Il avait toujours sa confiance, mais cette fois accompagner d'un doux calme qu'il n'avait jamais eue.

Les policiers du postes de polices se demandèrent bien se qu'un Kid des bas rues venait faire chez eux, mais ils ne lui prêtèrent pas plus d'attention lorsqu'il sortie la carte du détective Érick Lombart.

***

Il se trouve qu'il en savait pas mal et que son témoignage était quand même valide. Il fallait cependant plus de preuves pour coincer Vanderlaez et sa gang, et selon Dec.Lombart, lorsqu'il saurait à propos du témoignage du gamin, il serait fort possible qu'un contrat soit mis sur sa tête. Émile bénifierait donc du service de la protection des témoins.

Son nouveau nom? Matthew Walkers, Un échange-étudiant pour un pensionnat au Japon.

Et il ne contait pas rester inactif dans la société des méchant, lui et son ami (e?) Irait botter des culs de tous ceux qui oserait menacer des autres comme lui à été menacé.

Après tout, parfois il arrivait que son ami lui murmure

"-Libre."

Et le soulagement venait du fait, que ce n'était pas une question.

"La justice est la vérité en action."

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Double-compte ? (Si oui, préciser le nom du premier compte) : Nada^^
Code de confirmation de lecture du règlement :[Validé par Ael ~].

Autres : Juste pour préciser, la voix qu'il entend peut-être effectivement la voix des vents, cependant il y en a pour qui l'idée qu'un élément ait un esprit déplaît, alors juste voir la voix comme une partie de la conscience de Matt, celle qui contrôle ses pouvoirs. Je sais que son histoire est EXTRÊMEMENT brouillon et que plusieurs éléments fit pas (ex: je suis pas spécialiste mais je pense pas que le service de protection des témoins envoie leurs témoins hors du pays ¬¬ et d'autres petits détails comme cela...) mais bons...Juste fermer les yeux là dessus ppplllleeeaaaasssseee!!!!

Fini en passant^^

OUah ! C'est super long XD
J'aime bien...BIenvenue !

Invité

hum...Merci^^

Pour du complet, c'est du complet ta préz' hein... Chapeau.

Alors tout d'abord, bienvenue à toi et je te remercie de ton inscription : D
Je te valide le code qui est juste ~

Néanmoins un problème de taille dans ton personnage... Un très gros. Je lis les premières lignes et zbaf.
Hé oui... Ton personnage ne peut pas être de deux types. Il ne peut qu'être soit élément, soit superheroes. Mais pas les deux :/ Tu vas donc devoir choisir.

Invité

Merci,et je comprends, c'est juste que je pensais que, puisque mon personnage avait le pouvoir de maîtriser l'air, il tombait automatiquement dans la catégorie élément même s'il était un superhéros (donc je pensais devoir le mentionné) un peu de la même façon qu'un humain peu également être un superhéros^^ Mais bon,j'imagine qu'au final c'est un superhéros (héhéhé)

D'accord, tant mieux si tu comprends ^^

Donc, pour résumer, ton personnage est un superhero lié au pouvoir de l'air (avec une voix des vents ou un esprit, ça j'ai pas bien compris dans le "divers" lequel c'est ._.) et qui sait bien se battre, vu la "maîtrise de la baston". C'est ça?
Je pense que ça pourrait aller, si effectivement ton personnage veut "protéger le monde", mais ça a l'air d'être le cas vu sa description ^^

Invité

En ce qui concerne la Voix, ce qui à de compliqué à comprendre c'est que j'ai mis deux explications possible à savoir ce qu'elle est, et que c'est laisser à la discretion du lecteur à savoir laquelle il veut croire.

Soit 1: le vent a une voix, et il lui parle (et il réponds)

Soit2: La voix est en faites une partie de lui-même qui l'interroge ou lui parle, la même partie qui inconsciamment contrôle ses pouvoirs,

Dans les deux cas la Voix ne sait seulement ce que lui-même sait (il peut pas être là, -hé Voix,combien de marche y'a-t-il à la tour Eifel? et qu'elle lui réponde (à moins que Matt le sache)) et c'est à peut près juste de quoi à me faire faire du rp. (genre longue interrogation sur lui-même)

Et le personnage est effectivement un superhéros^^ du genre méchant prenez garde, je pratrouille les rues et attrape les vilains(hors des cours, et lorsqu'Il se sera trouver un costume et un nom (mais tout cela se fera en rp.))

Aaah, je vois, je vois. C'est intéressant : )

Donc tout est ok maintenant ^^ (Désolée encore pour toute l'attente depuis le moment de ta présentation. ._.)
Je te valide, dortoir #10, bon jeu à toi, petit superhéros ^^

Messages : 425 Date d'inscription : 11/12/2011 Age : 31

Hum hum un super héros dans ma chambre sa va être marrant bienvenue a toi

Bienvenue sur Tsuruko, merci pour ton inscription =3
Bon jeuu ! ~

Invité

Bienvenue parmi nous mon ami ^^

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